Candide de Voltaire

Candide est un livre écrit par Voltaire écrit en 1759 dans lequel on va suivre les péripéties de Candide qui va se voir exclure du château. Tout le long du livre il essaie de retrouver Cunégonde et il lui arrive moulte péripéties. Dans un premier temps nous verrons que Candide est un conte divertissant, et pour finir nous verrons ensuite les différents thèmes de réflexion qu’aborde Voltaire.

D’une part on peut dire que ce conte est un conte divertissant, en effet lors de beaucoup de chapitre on peut vois Candide se faire ridiculiser par d’autre personnage du livre comme lors du chapitre 2 dans lequel il se fait avoir par 2 recruteurs Bulgare : les lecteurs peuvent en rire. Aussi le lecteur se retrouve en supériorité par apport à Candide puisqu’ils comprennent des choses que le personnage principal n’a pas compris. Le lecteur reste diverti tout au long du conte grâce aux différentes mésaventures que Candide subit. Le lecteur peut aussi rire à la fin quand Candide retrouve Cunégonde et qu’au final il ne la trouve plus très jolie. Pour finir on remarque que leur histoire d’amour n’est qu’un prétexte au déroulement du récit.

D’autre part Voltaire montre dans le chapitre 6 la philosophie déterministe qui affirme avec optimisme que tout se qui s’est passé devait se passer ainsi. Le thème de réflexion de ce chapitre est la peine de mort, en effet Voltaire vilipende la peine de mort. Selon lui ils utilisent le prétexte des tremblements de terre à Lisbonne comme prétexte pour faire un auto-da-fé. Ils disaient que en faisant un sacrifice les terres arrêteraient de trembler. Pourtant le lendemain les terres tremblèrent à nouveau. Ils choisissaient les personnes qui ne pensaient pas comme eux afin de les sacrifier. Ils étaient enfermés dans des cachot pendant 8 jours avant d’être bruler. Voltaire a un avis très négatif sur cette pratique, il utilise le blâme pour la présenter. Voltaire dans son livre présente une utopie, pour lui le meilleur des mondes serait fait de : un portail immense à l’entré dont il est impossible d’en déterminer sa matière ; des chemins fait d’or ; de beau vêtement ; où la politesse est simple ; « sa majesté » très gentil ; des fontaines d’eau rose ; aucune prison car il n’y aurait pas de criminel et pour finir des sciences très développée. Ce qui prouve bien que Voltaire vilipende la peine de mort puisque dans son utopie il n’y aurait aucune méchanceté.

Pour finir Voltaire dénonce aussi l’esclavage lors du chapitre 19 il rencontre « ce pauvre homme  […]  Étendu par terre » qui lui explique qu’il  attend son maître. Son maitre s’appelle « M.venderdendur » et ici Voltaire a fait un jeu de mot : le vendeur à la dent dure. Lorsque l’esclave parle de son maître il dit le « fameux négociant » ce qui montre que l’esclave est soumis mais que M.venderdendur  est connue et qu’il doit avoir beaucoup d’esclave mais aussi beaucoup d’argent. L’esclave s’est vu couper la main car il a perdu son doigt dans la meule mais aussi couper une jambe en essayant de s’enfuir. L’esclave dit : « c’est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe » ; le sucre était un produit de luxe avant, les personnes de la « classes moyennes » n’en avaient pas forcément besoin, surtout au prix d’humain. L’Europe faisait partie du commerce triangulaire, ils prenaient des ressources que l’Afrique n’avait pas pour l’échanger contre des esclaves qui était envoyé en Amérique et les ressources qui y était faites été renvoyer en Europe. Aussi Voltaire fustige l’esclavage en faisant comprendre que ce n’est pas de sa faute si il s’est retrouvé ici, mais c’est M.venderdendur qui a promis a sa mère qui avait de gros problème pour l’élever, de bien s’en occuper mais au final il se retrouve esclave.

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