Note de synthèse du module de Macroéconomie : le Brexit
Cours : Note de synthèse du module de Macroéconomie : le Brexit. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Xavi Sanchiz • 24 Janvier 2018 • Cours • 2 421 Mots (10 Pages) • 910 Vues
[pic 1][pic 2]
Note de synthèse du module de Macroéconomie
[pic 3]
L’index
L’executive summary 3
L’État des lieux 4
Les arguments 5
Les conséquences 6
La solution 9
La Bibliographie 10
- Executive summary
Dans ce report on essayera d’expliquer d’une manière très simple et concise les principales conséquences économiques d’une sortie du Royenne Uni de l’UE pour le pays britannique et pour les pays membres.
Tout d’abord, on tentera de comprendre les faits qui ont eu lieu pour arriver à la situation actuelle. Les mouvements eurosceptiques son à l’ordre du jour à cause d’un manque de confiance des concitoyens européens au système européen. La Royenne Uni n’est pas une exception. Mais, il est pour tous connu que au Royenne Uni il a eu toujours une minorité assez mobilisée qui a mis toujours en doute les avantages d’appartenir à l’UE. Mais c’est en quotidien que la possibilité de quitter la Communauté Européenne à cause de la célébration du référendum promis par David Cameron.
Les arguments pour qui les eurosceptiques utilisent pour défendre que le Royenne Uni devrait quitter l’UE sont nombreux. Premièrement, la sécurité nationale puisque la liberté de mouvement rend plus difficile pour les institutions d’avoir un contrôle sur tous les citoyens. Deuxièmement, l’immigration joue un rôle très important dans les discours des eurosceptiques. À cause de la crise économique, il y a beaucoup de concitoyens européens qui ont décide de partir au Royenne Uni pour essayer de trouver des meilleures perspectives de travail. De plus, la crise des refugies et la politique de quotas qui l’UE a essayé de mettre en ouvre a été un échec.
Troisièmement, le fait d’avoir d’apporter une contribution annale aux pays plus pauvres de l’UE n’a pas de sens pour beaucoup de concitoyens britanniques qui ne comprend pas le bénéfice que ceci les apporte.
Si l’on veut évaluer les conséquences d’une sortie du Royenne Uni de l’UE, il faut prendre en compte les nombreux horizons qu’il pourra y avoir. Le pays pourrait quitter la Communauté Européenne, mais maintenir une bonne relation avec les pays membres à partir d’un accord comme celui que la Suisse ou la Norvège ont. Ceci serait le cas plus positive pour le pays britannique puisque les exportations et importations ne se verraient pas très affectés. Néanmoins, il pourrait avoir un autre cas très négatif pour le Royenne Uni, où aucun accord existe entre la UE et le pays européen.
Selon les possibles horizons, les conséquences économiques seraient très différentes. Dans le report on essayera d’évaluer comme es que la sortie du pays britannique pourrait affecter au commerce, à a productivité ou l’efficacité du système de pays.
On conclura finalement, que la sortie du Royenne Uni aurait des conséquences très négatives pour le pays, mais aussi pour le reste des pays membres. Le commerce entre les deux diminuerait et la UE perdrait importance pour signer des accords avec des autres puissances internationales. Il faut donc trouver une solution politique à un problème politique-économique qui aurait des conséquences très dommageable pour les deux parties.
[pic 4]
- L’état des lieux
Le terme « Brexit » est le terme que les media utilise pour parler du possible sorti de le Royenne Uni de la Union Européen. En les jours courantes le modèle européen est mis en doute, et il y a nombreux collectivités qui demandent d’une manière ou d’autre, de changer l’actuelle system et de retourner les compétences aux gouvernements Nationals. Nous voudrions citer quelques exemples de mouvements eurosceptiques dans les pays européens.
Tout d’abord, Le Front National, un parti français qui critique toujours la perdue de souveraineté du gouvernement français pour gérer ses politiques économiques ou migratoires. En plus, « Alternative für Deutschland » est un parti qui critique l’actuelle system et surtout l’actuation menait à terme pendant la crise grecque. Il défend la création d’une zone euro a deux vitesse. Par ailleurs, aux Pays Bas « Partij voor de Vrijheid”, un parte d’extrême-droite, eurosceptique et islamophobe, dont secrétaire général est Geert Wilders. De ce fait, on peut affirmer que dans le pays qui forment le cœur européen il y a beaucoup de mouvements qui profite la perdue de confiance en le modèle européenne. Mais, il faut dire que le Royenne Uni doit être toujours analyser séparément.
Depuis l’entrée du Royenne Uni à la Union Européenne en l’année 1973 la relation a été toujours tendue. On ne doit pas oublier que ce pays n’a pas signé de traité Schengen et qu’il n’a jamais voulu pas s’intégrer dans la zone euro. En l’année 1984, Margaret Thatcher a dit ces mots : « I want my money back !» par rapport à la contribution de son pays a le budget européen, et finalement la commission européenne l’a retourné une partie de l’argent à travers d’un remboursement. Mais la situation a empiré, UKIP, un parti eurosceptique a gagné pouvoir et il a forcé au parti conservatif à avoir une politique plus critique avec la UE et à convoquer un referendum sur la permanence dans la UE, après d’avoir gagné les dernières élections du mois de mai.
- Les arguments
Les mouvements eurosceptiques critiquent surtout la perdue d’identité national et souveraineté par rapport a la sur-régulation par la UE. Ils argument que l’on a transféré trop de compétences à Brussels et que les gouvernements nationaux n’ont pas la capacité de gérer ses problèmes internes. La difficulté à solutionner la crise économique et la manque de consensus ont donné des arguments à ces mouvements pour pouvoir affirmer que le modèle européen ne fonctionne pas d’une manière optime.
Par ailleurs, la situation économique a obligé à nombreux citoyens européens à chercher une meilleure perspective de travail en autres pays plus riches. Le Royenne Uni a vu comme la quantité de citoyens polonais, grecques, espagnols ou portugaises ont augmenté considérablement durant ces derniers ans. De ce fait, il y a un sentiment croissant que les pays ont perdu la capacité de limiter et de gérer ce sujet. De plus, la crise des refugies qui affecte maintenant à la Union Européen et sa politique de quotas a énervé à certains gouvernements.
...