L’utopie, combattante pour un monde meilleur
Commentaire d'oeuvre : L’utopie, combattante pour un monde meilleur. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Justin Goulet • 9 Février 2021 • Commentaire d'oeuvre • 850 Mots (4 Pages) • 517 Vues
L’utopie, combattante pour un monde meilleur
L’utopie est difficile à vendre au XXIe siècle. Aujourd’hui, nous sommes des gens qui savent mieux, et ce que nous savons est les horreurs des utopies « réellement existantes » du siècle précédent : l’Allemagne nazie, la Chine maoïste, et l’Union soviétique. Avant, les créateurs de littérature aimaient modeler des mondes utopiques, cela leur donnait la chance de démontrer ce qu’il était la clé pour une montre meilleure. Dans l’œuvre Candide par Voltaire, la société que forme l’Eldorado se pose comme un contre-modèle positif et idéal de la société française des Lumières. Voltaire à travers cette représentation utopique critique l’amplitude de la misère qui infeste et ravage la société, Eldorado témoigne les imperfections de la société moderne au quels il y habite. Voltaire fait remarquer les trésors, le bonheur, et la bienséance des personnages à Eldorado.
Pour commencer, Voltaire démarque la richesse générale que la société d’Eldorado appartient. D’abord, Candide voie tous les biens matériaux des citoyens immédiatement. En effet, « la première maison du village ; elle était bâtie comme un palais d’Europe. » (p.21) et quand il y arrive, les enfants à l’intérieure son « vêtus de drap d’or » (p.21). Candide et Cacambo sont surpris des appartenances des gens, ce qui est considéré un succès pour eux est ce qu’il semble comme la norme à Eldorado. Ainsi, Voltaire utilise les biens matériaux comme des maisons exagérément majestueuses et des vêtements de luxe pour démontrer le style de vie dans la communauté. En second lieu, les citoyens vivent en abondance et en surplus, ils ne manquent de rien. D’ailleurs, durant le repas au quels Candide sait fait invité, les hôtes « On servit quatre potages garnis chacun de deux perroquets, un contour bouilli qui pesait deux cents livres, deux singes rôtis d’un goût excellent, trois cents colibris dans un plat, et six cents oiseaux−mouches dans un autre ; des ragoûts exquis, des pâtisseries délicieuses ; le tout dans des plats d’une espèce de cristal de roche. » (p.21) Certes, Candide est étonné pas le montant de nourriture qui lui est offert. Voltaire utilise ce repas pour prouver le bien être des gens dans la ville, la famine n’est pas un problème familier dans leur société. Également, dès son entrée dans le village Candide et Cacambo sont accueillis par des pièces d’or sur le sol. Effectivement, les voyageurs ramassent l’or et les pierres précieuses sur le sol, « Où sommes-nous ? s’écria Candide ; il faut que les enfants des rois de ce pays soient bien élevés, puisqu’on leur apprend à mépriser l’or et les pierreries. » Notamment, Voltaire utilise cette ouverture pour le village pour établir à quel point ils sont riches. Les pièces d’or et les pierres n’ont aucune valeur monétaire pour les le village. Après le souper Candide paie, ça part avec les pièces d’or qu’il avait ramassées, mais il se fait arrêter ; « Pardonnez−nous si nous nous sommes mis à rire quand vous nous avez offert en paiement les cailloux de nos grands chemins. » (p.21). Enfin, Voltaire utilise Eldorado pour critiquer les richesses de la société française des Lumières, en comparant les conditions de vie en France aux conditions de vie apportée avec l’argent d’Eldorado.
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