D03 E1
Dissertation : D03 E1. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Meyyi • 1 Mai 2018 • Dissertation • 1 792 Mots (8 Pages) • 513 Vues
1.1. Document 1
Le premier document est un article de presse explicatif publié le 6 avril 2016 par Jacky Durand et Catherine Mallaval dans le journal « Libération ». Ils y traitent la multiplication récente de l'effet de mode à manger correctement, du moins sans certains produits alimentaires dont un grand nombre de personnes serait allergiques, et nous partages le point de vu de différents spécialistes de l'alimentation et des allergies.
On note qu'en 10 ans les allergies alimentaires ont doublées, celles-ci toucheraient plus de 17 millions d'européens ; né également la mode du véganisme qui à mené à l'ouverture de deux salons en 2016 traitant les intolérances alimentaires. Les questions se posent, tous cela est-il véridique ? Est-il fondé ? L'homme est-il réellement en train de s'intoxiquer ?
Comme dit précédemment, cette tendance alimentaire est belle et bien présente, un véritable business fait face, faisant passer grand nombre de personne pour intolérante à x aliments ou poussant du moins l'acheteur et donc le consommateur à dévier vers une autre gamme de régime en lui promettant une meilleure santé.
Beaucoup se demandes si partager un repas sera encore possible...
1.2. Le deuxième document est également un article de presse explicatif, publié le 26 janvier 2016 dans « Sud-Ouest » où le sujet est l'impact d'une alimentation sans gluten sur la santé de l'homme.
1% de la population suivent un régime sans gluten pour le maintien de leur santé qui leur est indispensable dû à leur intolérance à celui-ci. Mais ces régimes séduisent car en France 5 millions de personnes n'en consommerait pas, ce qui a tout naturellement dirigé les industries agroalimentaire à commercialiser des produits spécifiques tel que du pain ou des pâtes sans gluten vendus presque 4 fois plus cher que le produit en question classique.
Une association a menée l'enquête. Des consommateurs trompés ou des consommateurs peu compétant sur le sujet ? Car c'est le comble pour eux de privilégier le naturel et de se retrouver à manger un aliment contenant le double d'additifs lorsque celui-ci est dit « sans gluten » alors qu'il en contiendrait bien moins en version dite « classique », et serait surtout meilleur d'un point de vu nutritionnel ! Le quotidien Sud-Ouest nous expliques que les spécialistes sont sceptiques à se régime sois disant meilleur pour la santé et la ligne car les additifs utilisés apporteraient une sensation de fringale et pousserait donc à manger davantage et donc tout naturellement à grossir !
1.3. Le troisième document est un article de presse informatif de Pascal Santi, paru le 22 mars 2012 dans le journal « Le Monde » où l'on nous parles de l'obsession à avoir une alimentation parfaitement saine, aussi appelée l'orthorexie.
L'orthorexie est un trouble du comportement mais n'est pas valable pour être hospitalisé en psychiatrie. Les orthorexiques s’impose une alimentation de qualité supprimant chaque produit jugés toxiques en déterminant si il contient des additifs, des conservateurs et des colorants, pensant que cela serait un poison et les pousserait vers la maladie, la vieillesse prématurée et même la mort dans une approche paranoïaque. Le célèbre message d'Hippocrate « que l'alimentation soit ta première médecine » est leur Bible. Des recherches complexes ont étaient effectuées sur cette maladie, les réponses et les explications données restes tout de même faibles... Les orthorexiques soupçonnent l'industrie agroalimentaire d'être un empoisonneur. Cela les mènerait à un isolement social particulièrement fort et les pousserait donc à ne pas manger hors de chez eux.
1.4. Document 4
Le quatrième document est un article de presse informatif publié le 16 juillet 2016 dans « Libération » par Sarah Finger où nous est expliqué le véganisme né dans les années 50 en Angleterre, qui consiste à lutter contre l'exploitation animale sous tout ses angles, sous toutes ses formes, qu'ont soit étudiant ou retraité.
La photographie complète le texte en nous montrant une partie de l'alimentation végan qui tournerait en partie, autour de beaucoup de légumes et de fruits très diversifiés. Le peuple végan ne consomme aucun aliment d'origine animale, ils ne fréquentent pas les cirques et les zoos, ils n'achètent pas de cuir, de laine, de soi, ni de fourrure, qu'ils soit étudiants ou retraités. C'est un peu délicat pour les plus jeunes de renoncer aux dernières tendances, aux plus beaux sacs en cuir derniers cris et de devoir se contenter de chaussures synthétique de mauvaise qualité qui ne tiennent pas le choc comparé aux chaussures en cuir... Clara, 27 ans, nous fait part de sa déception ; même en aillant fait attention elle vient d'apprendre que ses sandales contenait de la colle à base de poisson pour fixer les lanières. Mais il y a toujours des solutions en ce qui concerne les vêtements, ils ont à leur disposition le lin, le synthétique, le coton...
Les végans n'utilisent pas de produits industriels testés sur les animaux tel que les produits ménagers ou les produits cosmétiques.
Concernant leurs alimentation, beaucoup penses que celle-ci est fade et peu variée. D'ailleurs, les végétaliens doivent souvent se contenter d'un « menu de lapin » lorsqu'ils sortent dîner au restaurant car la France fait preuve de retard sur le véganisme ce qui amènerait doucement à une vie sociale réduite. Il y a malgré tous des progrès, les journaux parles à présent de ce mode de vie et les industries agroalimentaire suivent le pas ainsi que de grandes personnalités, elles osent se dirent végétaliennes et promurent se mouvement !
Olkan, végan depuis 5 ans affirme que lorsqu'on a des convictions, toute cette organisation est un réel plaisir et non une contrainte. Pour la plupart leur cheminement débute sur internet, en aillant visionnés des reportages et des documentaires montrant les conditions effroyables d'élevage, de transport et d’abatage de l'industrie de la viande.
2. Développement personnel
Le thème global porte sur le sens de ce que manger veut dire, sur les régimes éliminant certains aliments ainsi que leurs faces cachées. La question se pose : « La quête obsessionnelle de l'alimentation parfaite a-t-elle des conséquences sur la santé de l'homme ? ». Nous verrons dans un premier temps les risques de la consommation du « sans gluten » puis dans un second temps l'isolement social auquel font face les personnes condamnant certains aliments.
Le gluten est composé de plusieurs protéines et se trouve essentiellement dans les produits céréaliers. L'alimentation « sans gluten » a vu le jour en 1998 à San Francisco, par Scott Adams, lui-même intolérant à celui-ci. Depuis quelques années, le gluten est au centre de toutes les attentions car sa non-consommation aurait des effets néfaste pour notre organisme.
Une allergie alimentaire est une réaction négative du corps face à un aliment particulier, ici il est question du gluten dont 1% de la population est dans l'obligation de le bannir de son quotidien selon le journal « Sud-Ouest » afin de ne plus en ressentir les symptômes et de ne pas mettre en danger sa santé.
Mais les régimes dit « sans gluten » plaisent également à ceux qui souhaites suivre cette diète hors cas avéré d'intolérance, pensant que cela va leur apporter un bien nutritif sans s'être informé sur le sujet au préalable, décision bien trop souvent sans fondement. L'obsession de manger et la méfiance des aliments d'origine industrielles est belle et bien présente comme nous le montre Pascale Santi dans le journal « Le Monde » et Jacky Durand dans « Libération ». Manger sans gluten consisterai donc à éliminer un aliment posant problème pour pouvoir tout de même continuer à consommer ce dernier ; c'est tous de même le comble de s'obstiner à manger sainement, de chercher à avoir une parfaite alimentation naturelle pour au final ingérer moins de gluten mais bien plus d'additifs, d'émulsifiants, d'épaississants et d'autres ingrédients en tous genre n'appelant pas à la nécessitée. Si bien qu'un business florissant a vu le jour en commercialisant des produits « sans gluten » 2 à 4 fois plus cher que le produit d'origine qui produirait des sensations de fringales chez le consommateur, qui le pousserait donc à manger puis grossir en lui apportant moins de protéines et donc davantages de carences.
En raison de tous cela, s'est créée une véritable tendance alimentaire. Une mode qui cache un isolement social redoutable.
Il est donc difficile de manger hors de chez soi, chez des amis ou dans sa famille car d'après Camille Adamiec dans « Le Monde », la cuisine se transformerait en un vrai sanctuaire, l'acte de se nourrir serait à présent commander par la raison et non plus par le désir ou tous simplement le besoin. Jean-Michel Lecerf, endocrinologue, partage dans « Libération » que si chaque personne se croit allergique, nous serrons bientôt amenés à ne plus partager aucun repas ensemble car l'humain a pour motivation de protéger l'animal en étant allergique.
D'autant plus que la France montre des lacunes en ce qui concerne le véganisme par exemple, très peu de restaurant propose des menus végan et très souvent ils se trouvent dans les grandes villes rurales. Olkan Elijah explique que bien trop souvent il se retrouve à manger « un menu de lapin » ; la France comme les citoyens y résidant font preuve d'un manque de notion concernant ces différents mouvements alimentaire ; les végans, souvent victimes d'incompréhension, se voit régulièrement proposer des repas à base de thon ou de poulet... Olkan Elijah ne manque pas d'une note d'humour pour préciser qu'il est vrai et bien connu que le thon ou le poulet pousses dans les arbres... Cet homme nous fait également part de son point de vu concernant le fait de se définir comme omnivore, végan ou végétarien, chose qui pousserait à la séparation des hommes.
Les régimes consistant à éliminer un ou plusieurs types d'aliments pourrait avoir des conséquences tel que de fortes carences en fer ou un manque de vitamines. Il est donc nécessaire de trouver le juste milieu dans son alimentation afin d'apporter les nutritions requise à notre organisme. Il en est de même d'un point de vu social, toutes motivations personnel ne doit en aucun cas provoquer un renfermement sur soi même ou communautaire extrême, l'homme se doit de trouver un point d'équilibre dans son quotidien qui ne le pousserait pas au danger et ne l'éloignerait pas d'un mode de vie sain. Chaque régime ce doit donc d'être modéré.
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