Condition de travail Au Canada

Au Canada, l’apparition des sociétés industrielles au 19e siècle bouleverse les modes de vie. Sur le plan social d’une part, elle est responsable de la division entre les classes due à l’accroissement des injustices entre les plus fortunés et les plus démunis. L’Émergence précipitée des industries conduit les dirigeants capitalistes à recruter une quantité considérable d’ouvriers non instruits et ainsi à engendrer dans le monde du travail une division radicale entre ceux qui inventent et ceux qui fabriquent. Les employés exercent dans des conditions minables. Ils n’ont aucune sécurité d’emploi et vivent dans l’extrême pauvreté. Malgré les interminables heures à l’ouvrage, les familles ouvrières se voient contraintes de faire travailler les enfants, car le salaire des répondants n’est pas suffisant pour subvenir aux besoins de base de leur descendance. En prenant conscience d’avoir été lésés, les ouvriers s’organisent et arrivent ainsi à décrocher des nouveaux droits. En 1919, le mouvement de grève le plus important du Canada fraie le chemin à la réforme de la législation sur le travail. D’autre part, sur le plan économique, avec le démarrage de l’électricité au Canada, au début du 20e siècle, le milieu manufacturier vit de grandes modernisations. La création de machines électriques a pour effet une évolution mécanique dans les établissements de productions. Les manufactures se développent et, influencées par le Taylorisme, implantent le travail à la chaine. Cette forme d’organisation du travail, dite scientifique (OTS), tend à engendrer un maximum d’efficacité de la part des ouvriers. La production étant plus rapide et la masse salariale moins élevée, les dirigeants arrivent ainsi à gonfler leur profit. Cette transition marque le début du capitalisme. C’est dans ce contexte que s’inscrit mon objet d’étude sur les conditions de travail au Canada entre 1920 et 1980. Quelles sont les causes des mauvaises conditions de travail dans lesquelles exercent les ouvriers, au début et au milieu du 20e siècle? sont-elles sécuritaires et équitables?

Tout d’abord, les mauvaises conditions de travail sont dues aux principaux changements survenus lors de la deuxième phase d’industrialisation, c’est-a-dire le fort potentiel hydroélectrique, la division du travail et la mécanisation des manufactures qui sont a l’avantage des dirigeants ,qui eux, ont pour but d’augmenter leurs bénéfices tout en limitant les couts de production dont, le salaire des employés. D’autre part, ces dernières engagent une main-d’œuvre fragilisée et à bon marché, celle-ci, moins éduquée, est plus facile à berner. De ce fait, les hauts dirigeants ne considèrent ni le bien-être ni la sécurité de leurs ouvriers.

L'urbanisation s'intensifie à partir de la fin du 19e siècle.Les conditions de vie et de travail de la main d'oeuvre ouvrière sont souvent le reflet de la misère dans les villes. Les logements sont chers, insalubres et mal chauffés. Il est difficile d'obtenir de l'eau potable qui contribue à un manque d'hygiène dans les logements exigus. La mortalité infantile est courante. La pollution et les déchets sont aussi un problème de l'urbanisation dans les milieux ouvriers. Les semaines de 60 heures, les amendes qui réduisent les salaires, les inégalités salariales importantes et le grand nombre d'accidents de travail contribuent à la naissance du syndicalisme.

Tout dabord, les mauvaises conditions de travail sont d'une part dû aux principaux changements survenus lors de la deuxieme phase d'industrialisation, cest a dire, le fort potentiel hydroélectrique, la division du travail et la mecanisation des manufactures qui sont a l'avantage des dirigeant qui ont pour but d'augmenter leurs benefices tout en limitant les cout de productions dont, le salaire des employés . D'autre part, ces derniere engargent une main-d’œuvre fragelisé et à bon marché, celle-ci , moins éduquée, est plus facile a berner et donc, de ce fait , les haut dirigeants, ne considerent pas le bien etre au travail de leur ouvriers.

De nombreuses ressources naturelles

Un fort potentiel hydroélectrique

Des conditions de vie et de travail difficiles

le travail des enfants

Une disparité socioéconomique entre la bourgeoisie d’affaires et le milieu ouvrier

Au Canada, l’apparition des sociétés industrielles

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