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L’ENGAGEMENT SCIENTIFIQUE ET L’INTELLECTUELLE DÉMOCRATIQUE.

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Par   •  30 Janvier 2016  •  Dissertation  •  1 831 Mots (8 Pages)  •  912 Vues

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L’ENGAGEMENT SCIENTIFIQUE ET L’INTELLECTUELLE DÉMOCRATIQUE.

LE SENS DE L’AFFAIRE DREYFUS

Rapport d’étonnement

par Andrea NOVOA

La relation entre des pratiques de la science et une conscience de la citoyenneté, c’est le sujet principal que Vincent Duclert expose sur le texte. La mobilisation des « savants » de la société française du XIX siècle par rapport l’affaire Dreyfus, est le principal moyen pour lequel l’auteur du texte explique l’implication des « intellectuelles » dans les sujets comme la politique, la démocratie et la justice.

Ainsi, l’engagement des « savants » a aidé en premier lieu, à dénoncer l’injustice que le capitaine Alfred Dreyfus a supporté pendant les ans 1984 et 1906. En deuxième lieu, à faire connaitre le cas pour la société française et à le faire réfléchir sur le rôle de la science par rapport les affaires de la cité (politique, civique, rôle critique). En plus, l’importance d’impliquer les hommes « savants » dans le contexte civique et politique a été mise en évidence sur le texte.

D’après le texte, on peut voir comment l’auteur exprime les différents moments dans lesquelles la science et « les savants » ont influé sur le déroulement de l’affaire Dreyfus en devenant en une partie importante de la société en ce qui concerne les démarches civiques, politiques et critiques.

L’auteur structure son discours de tel manière qu’on comprend le contexte dans lequel l’affaire Dreyfus a déroulé, mais aussi il permet, dans la mesure que le texte avance, comprendre comment les savants sont arrivés à s’involucre fortement dans ce cas et comment cet évènement a contribué a qu’à nos jours, la science soit la génératrice de beaucoup des changes sociales, économiques et politiques dans les pays qui ont pris en compte ces disciplines pour développer des sociétés plus puissantes et avancées.

Premièrement, l’auteur analyse l’intervention de Gabriel Monod, un professeur à l'École normale et à l'École des hautes études. Duclert a pris comme une preuve de «conscience», les déclarations de Monod par rapport à l’affaire Dreyfus. Dans ce point, on peut dire que l’engagement des «savants» a commencé para se questionner sur la vérité des faits présentés contre Dreyfus, et d’ailleurs, la besoin de exprimer ces idées au public français, sans importer se mettre dans le cible de ceux qui ont condamné injustement à Dreyfus. À mon avis, ce premier pas de Monod, constitue un forte début pour permettre aux autres «savants» se lancent et s’engagent sur ce sujet.

Deuxièmement, et sous le titre « Comment savant, l’engagement fondateur d’Emilie », l’auteur analyse les divers formes que les «savants» ont trouvé pour exprimer sa position par rapport l’injustice avec Dreyfus. Les lettres, les articles publiés dans les journaux français, les livres, les mobilisations et plutôt, le fait des hommes de science de sortir de ses laboratoires «parce qu'ils ont compris qu'il s'agit aujourd'hui de la Liberté et de l'honneur de la Patrie» (Vincent, 1999). Ce sont des manières qu’aujourd’hui la société utilise pour s’exprimer, mais à cette époque-là, ce fait a produit une révolution sociale et une exposition du rôle des scientifiques sur la démarche des affaires civiques, politiques et sociales. Avec ses instruments « intellectuelles », les « savants » du XIX siècle, ont trouvé la façon de s’exprimer sur un sujet qui a émue la société française.

Troisièmement, l’aspect « civique » est analysé par l’auteur en citant à Édouard Grimaux qui affirmait la vocation des savants à être, à l'égal de ses compatriotes, des citoyens éclairés. (Vincent, 1999). Différents mouvements autour de l’affaire Dreyfus, dans lesquelles plusieurs savants français ont impliqués, montrent un fort engagement dès les différentes spécialités de la connaissance. C’est-à-dire, tous les impliqués dans les protestes et listes de signatures provenaient de diverses disciplines.

À ce point-là, je pense que la forteresse acquise par le mouvement des savants est due à la pluralité même impliqué. Pas seulement, les impliqués sont des hommes des lettres, ou « scientifiques purs», aussi des artistes, des publicistes, des architectes, des mathématiciens, entre autres, sont engagés, mais aussi considérés comment «savants» et après «intellectuelles».

À ce propos, l’engagement du cercle de «savants» a inclue tacitement, des disciplines qui n’ont pas été considérées comment « scientifiques ». Le texte ne parle pas sur ce sujet, mais c’est un aspect que je trouve important et intéressant, parce que le besoin de participer dans le déroulement des faits civiques et politiques, a été un moyen pour lier des disciplines qui historiquement ont été éloignées.

En outre, l’explication de l’engagement des «savants» dans l’affaire Dreyfus à travers de la volonté d’aider à élucider la vérité par des méthodes similaires à la méthode scientifique, représente une clair influence des procédures scientifiques dans les sujets de la vie quotidienne. En fait, le savoir scientifique, comme l’auteur l’exprime, apparais comme une technique d’analyse, une méthode de travail, une morale professionnelle ou une éthique intellectuelle. (Vincent, 1999)

Notamment, la méthode scientifique gagne d’importance car elle est conçois comme un outil que les « savants » peuvent offrir à la société pour résoudre des problèmes complètement différents a ce qui concerne aux sciences. Cependant, le point de vue sur lequel la méthode s’envisage pour résoudre cette problématique de justice, des valeurs morales a un air intéressant pour le même fait de le voir dès la perspective scientifique et pas nettement civile ou éloigné des règles scientifiques.

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