Culture G CNED

I. Analyse des documents et extraction des idées à retenir.

Question 1:

Le premier document est un article s’intitulant Libération, publié en avril 2016 et écrit par Jacky Durand et Catherine Mallaval. L’article va contenir les avis de trois spécialiste sur les régimes « sans ».

D’après l’article, les régimes « sans » sont des régimes qui excluent un aliment ou bien même une substance alimentaire comme par exemple le sans lactose, sans aspartame ou sans gluten. Ce phénomène est dû à l’origine dédier aux personnes allergiques qui ne cessent d’augmenter. Il s’est avéré que ce phénomène est devenu une mode où les groupes industriels ont su comprendre très rapidement la demande afin de dégager un maximum de bénéfices en lançant des gammes produites sans la substance en question.

Jacky Durand et Catherine Mallaval ont fait appel à ces trois spécialistes comme Olivier Assoully philosophe, Jean-Michel Lecerf, médecin spécialiste en endocrinologie et Bruno Verjus, chroniqueur gastronomique. Olivier Assoully, se méfie de cette industrialisation concernant l’alimentation. Selon lui on ne prend plus de plaisir à manger tout est un calcul rationnel compté au gramme près. Ensuite, Jean Michel Lecerf selon lui les régimes « sans » non aucune raison d’existé. Bruno Verjus propriétaire d’un restaurant explique selon lui que les régimes « sans » son un alibi aux différents régimes amaigrissants.

Question 2:

Le second document est un article, « Sud-Ouest » publié en janvier 2016. Dans cet article nous pouvons constater hormis les personnes réellement allergiques aux substances alimentaires d'autres individus par forcément allergiques optent pour des produits sans lactose ou sans gluten alors que des analyses ont permis de montrer que les produits sans gluten vont à l’encontre des effets bénéfiques escomptés peuvent s’avérer même plus au moins nocifs pour ces personnes.

Au départ les régimes sans gluten étaient destinés pour les patients atteints de maladie cœliaque, le fait de supprimer cette substance était une question de santé. Cette intolérance, ne touche que 1% de la population mais à ce jour ceux qui effectuent ce régime sont beaucoup plus nombreux que le normal.

En supprimant le gluten d’un produit alimentaire, il arrive qu’on en supprime l’essence même comme la farine de blé dans le pain et on se retrouve alors avec des problèmes de texture qui sont compensés par l’adjonction de très nombreux additifs non naturels.

Le sans gluten est également pauvre en protéines, ce qui est défavorable pour ses consommateurs, car la plupart sont également adeptes du sans viande donc une diminution importante de la consommation de protéines qui peut également avoir un impact sur la santé du consommateur.

Le sans gluten, promet également un amincissement, mais le contraire de ce produit est que les additifs utilisés sont faits à base de sucre cela créé des envies de faim chez le consommateur et donc le pousse à consommer donc à grossir.

Ainsi, supprimer le gluten de son alimentation, c’est prendre le risque de déshabituer son organisme à le digérer, et donc de le stocker immédiatement dans ses graisses dès que l’on en remange, même en petite quantité.

Question 3:

Le troisième document est un article qui s’intitule « Le Monde », écrit par Pascale Santi et publié le 22 mars 2012. Dans cet article nous pouvons constater l’obsession du manger sain apparu chez certaine personne au point d’en devenir presque un trouble du comportement alimentaire portant le nom de l’orthorexie.

Les orthorexiques éliminent les produits jugés « toxiques », écartent additifs, conservateurs et autres colorants. Ils deviennent rapidement végétariens, végétaliens, macrobiotiques... Ils pense que l’industrie agroalimentaire les empoisonneur avec toutes leur substances.

Les personnes obsédées par le bien-manger se confinent à l’isolement social, car il devient difficile de manger hors de chez soi, chez des amis,

...