Stupeur et tremblement, Amélie Nothomb
Fiche de lecture : Stupeur et tremblement, Amélie Nothomb. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar soumaia youssouf • 15 Janvier 2023 • Fiche de lecture • 907 Mots (4 Pages) • 352 Vues
DISSERTATION :
« Le Japon est un pays qui sait ce que craquer veut dire .» Cette citation est inspirée du roman « STUPEUR ET TREMBLEMENT » d’Amélie Nothomb ce récit autobiographique vécu au Japon. Elle est née au japon en 1997 ? Son histoire se déroulent dans une entreprise. Ce roman à été publiée en 1999, ils nous apportent des informations sur sa vie. En effets l’autrice raconte son retour au pays de son enfance où elle subira une adaptation dramatique et ratée au sein d’une puissante entreprises japonaise qui se nomme Yuminoto qui l’embauche mais qui a la fin elle démissionne. Elle va découvrir à ses dépens l’implacable rigueur de l’autorité d’entreprises, en même temps que les codes de conduite incompréhensible à l’ignorant qui gouverne la vie du pays au soleil levant. Le Japon reste le pays où les traditions et les valeurs sont les plus rigides. Amélie Nothomb dénonce dans ces récits en se moquant notamment du monde du travail japonais par la hiérarchie, ses employées et les tâches absurdes qui l’ont était confiées mais aussi de toute la culture nippone en se raillant de condition de la femme du racisme envers les occidentaux ainsi que l’obsession de ce peuple envers leurs traditions et leurs travails. Cependant son expérience dans la compagnie japonaises « YUMINOTO »va pouvoir nous aider à avoir un point de vue de l’intérieur ce qui va nous permettre de répondre à la problématique suivante :
‘’ L’intérêts du roman d’Amélie Nothomb réside-t-il uniquement dans la satire de la société japonaise.’’
Ou bien l’auteur se moque et dénonce avec un certain mépris du monde du travail japonais sachant que la satire est une critique moqueuse. Dans ce roman Amélie Nothomb utilise ce registre pour discréditer avec humour la société japonaises.
-En effets Amélie Nothomb ridiculise le système autoritaire de la compagnie particulièrement les abus des supérieurs dans ce passage « Monsieur Omo chi était le chef : il avait bien le droit, il se désirait, de trouver un prétexte anodin pour venir passer ses appétits sadiques sur ces filles aux allures de mannequin. Il n’avait pas à se justifier… » dans ce passage Amélie démontre que les supérieures n’ont pas besoin de motif valable pour dénigrer un employé ce qui fait que le système de nippon et les droits qui sont liées une compagnie une hiérarchisation extrémiste.
- Ensuite Amélie Nothomb met en valeur le fait que ses supérieurs, M. Omo chi abusent de son pouvoir s’attaquent et dénigre ses employés. « Oui je pèse cent cinquante kilos et toi cinquante, à deux nous pesons deux quintaux et ça m’excite. Ma graisse me gêne dans mes mouvements, j’aurais du mal à te faire jouir, mais grâce à ma masse je peux te renverser, t’écraser, et j’adore ça, surtout avec ses crétins qui nous regardent. J’adore que tu souffres dans ton orgueil, j’adore que n’aies pas le droit de te défendre, j’adore ce genre de viol ! » La narratrice emploie plusieurs métaphores satiriques dans ce passage pour montrer les rapports de pouvoir et verbales de ses supérieurs en comparants comme l’abus sexuel, le viol et le meurtre. Sa nous montre que dans le mode du travail nippon, aucune faute n’est acceptée. Il faut donc accepter le sort et ne pas répondre à conséquence de perdre son poste au sein de l’entreprise.
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