Résumé: Une si longue lettre Mariama Ba
Résumé : Résumé: Une si longue lettre Mariama Ba. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Jean Christian Ahokou • 5 Novembre 2019 • Résumé • 1 922 Mots (8 Pages) • 78 230 Vues
« Une si longue lettre » de Mariama Bâ
Chapitre 1 :
Ramatoulaye, la narratrice, envoie une lettre à son amie d’enfance, Aïssatou, pour lui expliquer son désarroi, causer par la mort de son époux Modou. Elle décrit les évènements du jour du décès. Dans une précipitation, elle se rendit aux urgences pour essayer de comprendre ce qu’il se passe. Arrivé dans la chambre où Modou fût allonger, elle aperçoit un corps entièrement enveloppé par un drap blanc et surtout immobile. Mawdo, ami médecin de Modou, explique à la veuve que son époux est mort d’une crise cardiaque. Il lui explique aussi que malgré l’arrivé tardives des urgences, il a essayé d’administrer des soins, mais ils étaient inutile. Ramatoulaye constate que Mawdo, était lui aussi chagriner par la mort de son ami.
Chapitre 2 :
Le lendemain de l’annonce du décès de Modou, une énorme foule de personnes défilaient dans la maison de Ramatoulaye pour présenter leurs condoléances aux épouses du défunt Modou. Les femmes du village préparer la cérémonie de l’enterrement. Elles emportent les nécessités pour la toilette mortuaire du corps. La présence de la coépouse de Ramatoulaye l’énerve. Les hommes conduisent Modou jusqu’à sa tombe, pendant que les femmes de décoiffent. Les biens matériels de Ramatoulaye, sont offerts à sa belle-famille, et il ne lui qu’une natte, à la maison. Ramatoulaye, en colère, constate que l’égalité des deux épouses, juger par les belles-sœurs, réjouit la nouvelle belle-mère de Modou. Les hommes reviennent du cimetière, présentent leurs condoléances et se font offrir des collations.
Chapitre 3 :
Le troisième jour, mêmes allées et venues d’amis, et même d’étrangers. Ils sont accueillis dans la maison dépouillée de Ramatoulaye. Elle lit le Coran pour se réconforter. Le groupe des hommes mange silencieusement et attristé. Tandis que les femmes ne faisaient que du bruit. Une voix virile excédée met en garde, redéfinit la cérémonie pour la rédemption d’une âme. Mais cette voix est vite oubliée et le tapage sonore revient encore plus fort. Le soir, vient la phase la plus problématique de cette cérémonie du troisième jour. Plus de monde et davantage de bousculade. Des groupes se constituent par affinités. Chaque groupe démontre sa participation aux frais, sous forme d’offrande. En offrant billets de banque. Les plus grosses somme d’argent sont versées à Ramatoulaye, car elle était l’épouse de Modou pendant plus longtemps. Après la visite de toutes sortes de personnes, la maison se vide peu à peu. Ramatoulaye vit seule, et surtout dans une monotonie.
Chapitre 4 :
La réunion de famille fût tenue chez Ramatoulaye. Pendant le « mirasse », une cérémonie ordonnée par le Coran qui consiste à dévoiler tous les secrets des morts. Elle découvre que son défunt mari, avait choisi d’abandonner Ramatoulaye et leurs enfants, qui constituaient sa première famille. Elle découvre que, son mari qui était cribler de dette, dépensait une grande partie de son agent pour subvenir aux demandes de sa deuxième famille, celle avec Binetou. Modou avait retiré Binetou de l’école, alors qu’elle voulait terminer ses études, alors Modou était contraint de lui verser des sommes d’argent par mois à Binetou.
Chapitre 5 :
Après avoir fait certaines découvertes sur la vie de son époux, Ramatoulaye décide d’accepter son sort, car la vie est faite d’abdications et d’acquiescement. Elle se dit qu’être heureux, malgré ce triste sort, fait de nous des héros. Elle a décidé d’accepter son sort, mais en elle, demeure regret et déception. Elle regrette d’avoir consacrer trente ans et douze grossesse à cet homme qui l’a trahi.
Chapitre 6 :
Ramatoulaye décrit le début de sa relation avec Modou, ces prouesses et comment elle est tombe amoureuse de cet homme. C’était à une fête de la jeunesse, Modou l’invita à danser et elle est immédiatement tomber sous le charme. Pour continuer ses études, il part en France et revient dans son pays natal avec une licence en droit. Elle raconte les tentatives vaines de sa mère pour les séparer, et parlent de tous les rêves qu’ils avaient ensemble, elle et son mari Modou.
Chapitre 7 :
Ramatoulaye invite Aïssatou à se remémorer de leur école, étant plus jeune. La directrice de l’école, qui était une femme blanche, voyait en Ramatoulaye et Aïssatou un grand potentiel, et s’était assigner la tâche de former ces deux filles. L’éducation de Ramatoulaye lui a permis de comprendre qu’elle n’était pas obligée d’épouser Daouda Dieng, médecin à la Polyclinique. Daouda Dieng avait tout pour lui financièrement, mais Ramatoulaye a préférée épouser Modou.
Chapitre 8 :
Le mariage de Ramatoulaye était une transgression des règles sociales, également celui de Aïssatou. Mawdo, sorti de l’école africaine de médecine, fait face avec bravoure à la colère de sa mère et au jugement de tous. Fils de princesse, il épouse Aïssatou, dont le père appartient aux rang de forgerons, mais est une personne digne, doter d’une bonne éthique de travaille. Ramatoulaye mène une réflexion sur l’importance de la transmission de métier de père en fils, et sur l’abandon des métiers, pour se concentrer sur l’école et l’éducation.
Chapitre 9 :
La narratrice décrit ses rapports avec sa belle-famille, la vie d’une femme qui travaille et qui s’occupe de son foyer, la vie des deux couples, et tous les loisirs compris. Comme activité, Mawdo organisa des pique-niques dans le champ qu’il avait hérité de son père. La narratrice explique que toutes formes de métiers, qu’ils soient manuel ou intellectuel, sont d’une aussi grande importance.
Chapitre 10 :
La narratrice évoque les activités des deux maris, Modou était focaliser sur ses activités syndicales, tandis que Mawdo était pris par ses activités de médecins dans un hôpital ou le travail n’en finit pas. Le lendemain d’indépendance, la génération de la narratrice vit une période excitante même si elle n’est pas d’accord avec les dépenses excessives du pays pour la gloire.
...