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Le parfum

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Par   •  12 Décembre 2021  •  Analyse sectorielle  •  580 Mots (3 Pages)  •  561 Vues

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C’est en 1985 que Patrick Süskind écrivain du 20ième siècle publie Le Parfum, aussi appelé Histoire d'un meurtrier. Dès sa publication, il a connu un très grand succès, fut traduit en 48 langues et vendus en plus de 20 millions d’exemplaires. L'action se situe à Paris et décrit la au 18ième siècle  ainsi que le personnage Jean baptiste Grenouille le personnage.

JE VAIS A PRESENT PROCEDER A LA LECTURE DE L’EXTRAIT (lecture)

Nous pouvons nous demander comment, à travers le destin de Jean Baptiste Grenouille, l’auteur nous dépeint il la société du 18ième siècle.

Notre extrait peut se diviser en deux parties : de la ligne 1 à 9, nous avons une présentation du personnage Jean Baptiste Grenouille, puis de la ligne 10 à 25 la peinture de Paris au 18ième siècle.

JE VAIS DONC A PRESENT EXPLIQUER L’EXTRAIT LINEAIREMENT

Commençons donc par les lignes 1 à 9, à savoir la présentation de Jean Baptiste Grenouille.

 Ligne 1 à 2 Le personnage est présenté sans être nommé, à travers l’oxymore « génie abominable » l’auteur présente le 18ième siècle comme une époque très particulière.  

Ligne 3 à 9 La présentation du personnage est faite sur une longue phrase, aucune description physique, le portrait du personnage est centré sur l’aspect moral qui est décrit négativement. Il est comparé à des personnages réels du 18ième siècle se qui rajoute du réalisme, les personnages auxquelles il est comparé sont historique, le protagoniste est comparé à Sade, Saint Juste, Fouché et Napoléon pour leurs génies et leurs monstruosités dans l’oxymore « scélérats de génies ». On apprend le nom du personnage Jean Baptiste Grenouille, oxymore mêlant un prénom Biblique à un nom de batracien. L’énumération « moins bouffie d’orgueil, moins ennemie de l’humanité, moins immoral » soulignes les défauts du protagoniste dans son aspect inhumains.

Dans les lignes 10 à 25, la peinture de Paris au 18ième siècle.

Lignes 10 à 16   la périphrase « dont nous faisons partit » redit aux lecteurs que qu’il s’agit d’une époque antérieure à la nôtre. Le lecteur est d’ailleurs impliqué dans l’histoire à travers le pronom personnel « nous » et l’expression les modernes que nous sommes. La personnification « il régnait une puanteur » montre que l’odeur surpasse le roi. A partir de la ligne 11 on trouve le champ lexical des mauvaises odeurs « le fumier, l’urine, le bois pourris, la crotte de rat, le chou pourris, … »  Les odeurs sont associées au champ lexical du lieux « cuisines, chambres, … » les lieux de vie étaient aussi des lieux de travailles.

Lignes 17 à 22 Description très péjorative des hommes et de leurs saletés à travers le champ lexical du corps humain la sueur, leurs bouches, les dents, … »  Énumération de comparaison mettant à égalité les classes sociales concernant la puanteur tel que « puait comme un fauve » en parlant du roi ou « puait comme une vieille chèvre » en désignant la reine, termes très péjoratifs et montre l’omniprésence de la puanteur.

Lignes 23 à 25 le 18ième siècle se caractérise par le danger comme l’indique l’expression scientifique « l’activité délétères des bactéries » qui prolifère, « ne rencontre aucune limite ».

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