La fête

        La fête peut se définir comme un moment de partage et réjouissance collective pour une occasion spéciale. L’événement s’élabore autour d’un thème particulier et organiser.

Le corpus est composé de deux essais, d’un roman et d’une photographie datant du 19e siècles au 21e siècles. Il propose une analyse de ce qu’est la fête et son rôle dans notre société. Ainsi le corpus nous amène a se poser la question : La fête à t-elle un rôle dans notre société.

Dans une première partie je vais évoquer la fête qui est un moment de rupture dans la vie sociale. Ensuite dans une deuxième partie les valeurs de la fête sont elle différentes pour chacun.

La fête est un moment de rupture dans la vie sociale.

        La fête vue comme un moment de rupture avec le temps ordinaire. D’après Jean Cazeneuve et Roger Coullois la fête est une parenthèse, une rupture dans notre quotidien, du profit du désordre où l’on chante, danse. L’ingestion de nourriture est omniprésente ainsi que la beuverie, ce qui créer l’indispensable dépaysement. Emile Zola lui, a un autre aspect de la fête au contraire, il faut qu’elle soit organisée et depuis plus d’un mois, ou l’on met les petits plats dans les grands, ce qui permet également de mélanger les classes sociales de la famille, aux voisins, passant par les ouvrières.

        L’évènement peut se définir comme un moment d’excès ou nous perdons le contrôle de nous même, les excès du corps en tous genre notamment du à la beuverie mais qui est un élément important de la célébration néanmoins d’après Emile Zola cette excès d’alcool est murement réfléchis et programmé mais surtout très attendus. Les faits et gestes ne sont pas toujours controlé mais lors des selfies les jeunes veulent garder une belle image d’eux et se contrôle pour garder de merveilleux souvenirs.

        Les festivités peuvent faire partie de la vie courante suivant les communautés, les cultures, des uns et des autres. Elle renforce l’homme, comme porté des forces qui le dépassent. D’après Jean Cazeneuve on se contente de miner le départ des esprits vers le lac des Toupin ou demeure les morts, cela leur permet une vie plus apaisé. D’autre part, d’après l’extrait d’essai L’assommoir d’Emile Zola une fête de la vie courante, autour d’une table, engouffrement de nourriture et d’alcool tous ensemble comme chez les Gervaise, des choses simple que tous le monde en est impatient.  

Les valeurs de la fête sont différentes pour chacun.

        Elle peut se révéler comme révélateur de l’artificialité de la vie sociale. La fête permet de faire tomber le masque social, laisser la spontanéité jaillir, n’être plus tout a fait soi même, se libérer pour incarner un personnage mythique grotesque, si possible. D’après Jean Cazeneuve tout ce qui permet d’affaiblir le contrôle de soi même est recommandé cela passe notamment par la beuverie.

Emile Zola développe le fait que rien ne doit être spontané dans spontané dans une fête préparé très à l’avance. Il évoque le fait d’une mise en social, cette idée se retrouve sur la photographie une fête entre amis immortalisée pour un selfie.

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