L'ETRANGER D'ALBERT CAMUS, chapitre premier
Commentaire d'oeuvre : L'ETRANGER D'ALBERT CAMUS, chapitre premier. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar olive prudence • 19 Juillet 2019 • Commentaire d'oeuvre • 869 Mots (4 Pages) • 929 Vues
L'ETRANGER D'ALBERT CAMUS CHAPITRE PREMIER
INTRODUCTION
L'étranger est un roman écrit par Albert Camus. Philosophe, romancier, dramaturge, essayiste, nouvelliste, Albert est aussi un journaliste militant engagé dans la résistance française. Ce grand home de la littérature est né le 7 novembre 1913 à Mondovi en Algérie. Il est mort à 46 ans, à Villeblevin le 4 janvier 1960. Camus développe dans ses œuvres un humanisme fondé sur la prise de conscience de l’absurde de la connaissance humaine. Notre œuvre l’étranger est étudié sous l’expression de l’anticonformisme dans le roman du XXème siècle. Ainsi donc pour mieux comprendre le chapitre premier de notre œuvre intégrale nous répondrons à une série de questions.
QUESTIONS-REPONSES
1) Analyser le dispositif énonciatif de la ligne 1 à 3 « Aujourd’hui maman…pour n’avoir plus à parler ».
a) Quel effet engendre-t-il ?
Comme dispositif énonciatif nous avons ‘je’, ‘lui’, ‘m’’, ‘il’, ‘ils’, ‘me’. Ces indices de la personne révèlent le manque d’émotion.
b) Justifier l’utilisation du passé composé
Le passé composé est utilisé dans ce passage pour le faire vivre et pour montrer que Meursault est étrangé à la situation.
2) Cet incipit vous semble-t-il répondre aux règles du genre ?
L’incipit répond en effet aux règles du genre à travers les indices spatio-temporels (aujourd’hui, hier, l’asile), le présent de narration (est, sais, veut), l’absence de sentiment et de jugement.
3) Quels sont les indicateurs spatio-temporels ?
Les indices spatio-temporels sont aujourd’hui, hier, l’asile, Marengo, quatre-vingts kilomètres d’Alger, 2 heures, l’après-midi, demain soir, deux jours de congé, au restaurant, après-demain, chez céleste, chez Emmanuel, quelques mois, deux kilomètres du village, il y’a trois ans, à la maison, la dernière année, dimanche, dans l’escalier, pendant deux ou trois jours, derrière nous, mon bureau, 10 heures du matin, au centre, près de la bière, à ce moment, derrière mon dos, vers la sortie, derrière moi, fin d’après-midi, contre la bière, vers lui, cinq ans, il y’a longtemps, dans la plaine, dans ce pays, à paris, dans la petite morgue, le soir, la nuit, au-dessus de la verrière, au réfectoire, un moment après, en face de moi, de l’autre côté de maman, peu après, après un assez long moment, de temps en temps, la nuit, au-dessus des collines, la mer, le ciel, il y avait longtemps, à la campagne, sous un platane, à cet heure, derrière les fenêtres, dans le ciel, depuis un moment, derrière son bureau, au moins trois quart d’heure, à l’église, devant la porte, derrière, aux collines près du ciel, une cinquantaine de mètres derrière nous, autour de moi, très loin, à travers champs, sur les tombes du cimetière, devant un café, douze heures, sur les trottoirs et pour la dernière fois.
4) Comment comprenez-vous le nom Meursault ?
Mourir seul mais pas sot, voilà comment est compris le nom Meursault.
5)
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