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Elle était déchaussée

Cours : Elle était déchaussée. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  6 Novembre 2022  •  Cours  •  814 Mots (4 Pages)  •  260 Vues

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contexte auteur  date publication, titre , nom du  recueil dont il est tiré mouvement littéraire

ce que raconte le poème Problèmatique, annonce du plan, lecture

lecture du texte

1er mouvement (v.1-8) portrait de cette femme

A) Une atmosphère harmonieuse

 Le poème s’ouvre par un alexandrin découper par la juxtaposition par hémistiche (6//6) qui créé un parallélisme entre les deux parties qui plonge directement le lecteur dans une ambiance agréable et douce le lecteur celui-ci est placé assez vite dans un mystère créant un horizon d’attente avec l’emploi des pronoms personnels «elle» répété deux fois d’autant plus qu’au vers 2 la beauté de la nature est présente et est relaté à travers la description du portait de la femme mais aussi par de sonorités dans les mots comme par exemple l’allitération en j et ch dans jonc et penchants restituant ainsi le chuchotement de l’eau

B) une rencontre merveilleuse (idyllique)

Au vers 3 l’appostrophe du pronom personnel «moi » (v.3) montre que le poète paraît envahi par la vision de cette femme la similant à une fée qui est l’allégorie d’une nature fascinante et magique d’ailleurs l’utilisation du passé simple avec le verbe « cru » nous renvoie à l’univers du conte , ce quatrain ce termine par une invitation « veux-tu t’en venir dans les champs » (v.4) avec une allitération en v qui souligne le désire du poète à rencontrer cette jeune femme renforcée également par l’interrogationqui plonge le lecteur en attente

c) La beauté splendide de cette femme

Le côté splendide est mis en avant avec l’adjectif hyperbolique suprême qui souligne l’intensité fascinante de cette femme , par l’emploi à 2 reprises des mots «regarda » et « regard»(v.5) qui semble mettre en avant le côté surnaturel évoqué précèdemment au (v.3) avec le verbe « fait » d’ailleurs au V.6 cette splendeur inépuisable est évoqué (v.6) avec qui reste à la beauté  considérant non seulement cette jeune fille comme extrêmement  jolie mais aussi comme la nature elle l’est aussi c’est ce que le côté romantique cherche à rentranscrire . Face à ce silence le poète réitaire son invitation du  (v4) au (v.7-8) par l’utilisation de l’anaphore « veux-tu» qui montre le désir insistant du poète. Cette invitation amoureuse est justifiée avec l’expression du mois où l’on aime : qui représente le printemps ce moi on a la connaissance de l’amour, la répétition de ces 2 questions au (v.4) et au (v.8) le lecteur est plongé dans une atmosphère opprésente qui attend activement la mystérieuse réponse de la jeune fille.

2ème mouvement : l’acceptation de la jeune à l’invitation

a) une jeune fille qui veut découvrir le poète

Au (v.9) cette jeune fille s’anime une succession de verbes  au passé simple au vers 9 s’enjaine montra        nt la dynamique de cette femme « essuya, reagrda, devint » comme si elle se révèlait.

D’ailleurs l’anaphore du pronom « elle » au vers 9 et 10 confirme le désir intense qu’elle a de rencontrer le poète toutefois au vers 11 l’expression « la belle folâtre » montre une certaine hésitation qui sera vite atténuer comme l’évoque le vers 12 avec ces exclamations  qui brisent l’hémistiche du départ et rappelle se parallèle avec la nature avec les termes oiseau et bois chantaient V.12 qui traduit la fascination du poète pour la nature

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