Analyse poèmes Charles Baudelaire
Synthèse : Analyse poèmes Charles Baudelaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar enzoeeeeee • 18 Janvier 2023 • Synthèse • 5 289 Mots (22 Pages) • 1 272 Vues
Analyse poème Charles Baudelaire
Les Hiboux
Les hiboux est un poème de Charles Baudelaire dans la section « Spleen et idéal » des Fleurs du Mal. Ce poème fait partie du mouvement du romantisme (1857), c’est un sonnet composer de 2 quatrains et 2 tercets, en d’octosyllabe avec des rimes embrassé (ABBA) pour les 2 quatrains, puis des rimes (AAB CBC) pour les 2 tercets. Les rimes sont masculines alternant avec des rimes féminines. La disposition sous forme de sonnet force a une présentation par oppositions entre les quatrains et les tercets.
Le premier quatrain nous met dans une ambiance sombre et inquiétante « les ifs noirs », on peut supposer que nous sommes dans un cimetière. Les hiboux sont comparés a « des dieux étranger » (vers 3), les hiboux sont donc à la fois valorisés par la qualification au rang de dieux et à la fois mis à distance par l’adjectif « mystérieux » qui les rend étranges autant que mystérieux et leurs attitude statiques et mis en opposition avec leurs regards « Dardant leur œil rouge » (vers4) qui renvoie a de l’agressivité par le participe passé dardant qui renvoie à une arme.
Ce poème rentre parfaitement dans le projet spirituel et philosophique de ce recueil, les hiboux peu représenter dans la poésie sont ici montrer comme des êtres énigmatiques et inquiétant et des modèles pour l’homme car ils savent rester à leurs places. A travers ce poème on voit apparaitre une allégorie qui fait l’éloge de la sédentarité avec le comportement et l’attitudes des hiboux
La cloche fêlée
La cloche fêlée est un poème qui fait partie de la section « Spleen et Idéal » du recueil les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire. Ce poème fait partie du mouvement du romantisme, c’est un sonnet en alexandrins avec des rimes croisées (ABAB) pour les 2 quatrains et des rimes suivies (CCDDEE) pour les 2 tercets.
Ce poème fait la transition entre la douceur mélancolique de certains poèmes et de l’horreur progressif du Spleen qui envahit le poète. Dans ce poème on peut voir au premiers quatrains ses souvenirs heureux, dans le second Baudelaire fait l’éloge d’une cloche personnifier, dans le premier tercet il s’identifie à une cloche fêlée et dans le dernier tercet il s’assimile à un blessé agonisant.
Le sonnets la cloche fêlée nous montre la tension entre le spleen et l’idéal qui tiraille le poète, on peut le voir avec la personnification de la cloche avec l’adjectif « Bienheureuse » s’opposant à la réification (procédé qui consiste à rendre immobile, inanimé ce qui est mouvant, mobile) du poète accablé par le spleen, jusqu'en mourir.
Alchimie de la douleur
Alchimie de la douleur est l’un des derniers poèmes de la section « Spleen et Idéal » de Charles Baudelaire dans le recueil les Fleurs du Mal. Ce poème fait partie du mouvement du symbolisme, c’est un sonnet en octosyllabe.
Dans ce poème on voit une intensification du Spleen et le poète y exprime son morbide désespoir. Ce poème se décompose en 3 parties, dans la première partie le poète évoque les principes de vie et de morts qui le bouleverse, dans la seconde partie il s’adresse à Hermès Trismégiste et dans la dernières son incapacité à être un alchimiste poétique. Une des phrases les plus connus ou Baudelaire dit « Par toi je change l'or en fer » (vers10) « Et le paradis en enfer » (vers11) ou l’antithèse paradis/enfer souligne sont échec, on peut qualifier Baudelaire d’alchimiste inverser qui transforme l’or en fer. Baudelaire cherche désespérément à atteindre l’idéal mais il ne fait que tomber dans le Spleen.
En conclusion, ce sonnet exprime l’horreur du spleen Baudelairien. Le poète n’a plus confiance en lui pour créer une œuvre idéale et il se lamente d’être un poète moderne, mais dans le désespoir Baudelaire élabore une nouvelle esthétique tirée du Spleen. Dans l’innascibilités d’atteindre l’idéal, le poète explore des champs poétiques nouveaux tirées du Spleen
Analyse poème Charles Baudelaire
Les Hiboux
Les hiboux est un poème de Charles Baudelaire dans la section « Spleen et idéal » des Fleurs du Mal. Ce poème fait partie du mouvement du romantisme (1857), c’est un sonnet composer de 2 quatrains et 2 tercets, en d’octosyllabe avec des rimes embrassé (ABBA) pour les 2 quatrains, puis des rimes (AAB CBC) pour les 2 tercets. Les rimes sont masculines alternant avec des rimes féminines. La disposition sous forme de sonnet force a une présentation par oppositions entre les quatrains et les tercets.
Le premier quatrain nous met dans une ambiance sombre et inquiétante « les ifs noirs », on peut supposer que nous sommes dans un cimetière. Les hiboux sont comparés a « des dieux étranger » (vers 3), les hiboux sont donc à la fois valorisés par la qualification au rang de dieux et à la fois mis à distance par l’adjectif « mystérieux » qui les rend étranges autant que mystérieux et leurs attitude statiques et mis en opposition avec leurs regards « Dardant leur œil rouge » (vers4) qui renvoie a de l’agressivité par le participe passé dardant qui renvoie à une arme.
Ce poème rentre parfaitement dans le projet spirituel et philosophique de ce recueil, les hiboux peu représenter dans la poésie sont ici montrer comme des êtres énigmatiques et inquiétant et des modèles pour l’homme car ils savent rester à leurs places. A travers ce poème on voit apparaitre une allégorie qui fait l’éloge de la sédentarité avec le comportement et l’attitudes des hiboux
La cloche fêlée
La cloche fêlée est un poème qui fait partie de la section « Spleen et Idéal » du recueil les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire. Ce poème fait partie du mouvement du romantisme, c’est un sonnet en alexandrins avec des rimes croisées (ABAB) pour les 2 quatrains et des rimes suivies (CCDDEE) pour les 2 tercets.
Ce poème fait la transition entre la douceur mélancolique de certains poèmes et de l’horreur progressif du Spleen qui envahit le poète. Dans ce poème
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