La schistosomiase
Fiche : La schistosomiase. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar jc.smith • 27 Juin 2023 • Fiche • 638 Mots (3 Pages) • 327 Vues
Exposé maladie vectorielle : Schistosomiase
- Quel est l’agent pathogène responsable de la maladie
Le schitosoma est l’agent pathogène responsable de la schistosomiase ou plus souvent appelé bilharziose. La bilharziose peut mettre des années à se manifester et à être diagnostiquée. Les premiers symptômes qui se déclarent sont des démangeaisons cutanées et quelque semaine plus tard de la fièvre, de la toux et des douleurs musculaire. Il y a deux phases pour les adultes :
- Phase aiguë : 2 mois après les 1er symptômes (sur 1 à 6 semaines)
- Dermatite (inflammation de la peau)
- Diarrhée
- Myalgie (douleur musculaire)
- Fièvre, nausée
- Sensation de malaise
- Douleurs abdominales
- Phase chronique : (varie dans le temps)
- Diarrhée hémorragique (inflammation du colon ou du rectum)
- Diarrhée hématurie (sang dans les urines)
A ce jour, plus de 230 millions de personne dans le monde son infecté par la bilharziose surtout dans les zones tropicales et subtropicales comme en Afrique, en Amérique du Sud, en Asie et dans le Bassin méditerranéen. La schistosomiase cause chaque année environ 280 000 morts à travers 78 pays dans le monde. C’est la deuxième maladie parasitaire la plus mortelle au monde après la malaria.
Les enfants peuvent également être infecté par cette maladie. La maladie a un impact négatif sur :
- La croissance
- L’état nutritionnel
- Le développement cognitif
- Les modes de transmission de la maladie
La transmission de la schistosomiase s’effectue quand des personnes déjà infecté contamines des sources d’eau douce avec leurs excréments qui contiennent des œufs du parasite qui vont y éclore. Les larves pénètrent alors dans la peau. Une fois adultes, les femelles pondent des œufs qui finissent dans les urines et poursuivent leurs cycles. D’autre sont pris dans les tissus du corps humain, ce qui cause la phase chronique et qui entraine des réactions immunitaires et des dommages progressifs aux organes et conduit à la mort.
- Les mesures prophylactiques contre ses maladies et les traitements existants pour se débarrasser de l’agent pathogène responsable de la maladie
Pour les voyageurs qui vont dans les zones ou la présence de la maladie est très forte, il est recommandé d’éviter tout contact avec l’eau douce stagnante, et de porter des pantalons serrés aux chevilles et des bottes si le contact avec l’eau et inévitable, et ne pas consommer d’eau croupie. Pour les personnes vivant dans ces zones endémiques, en plus des précautions consternant le contact avec l’eau, il est recommandé un traitement régulier préventif et ciblé au praziquantel ; qui protège contre certains vers plats. Les personnes à risque doivent être traitées une fois par an ou tous les deux ans suivant le risque qu’elles encourent.
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