Victore Hugo, Les orientales

Victor Hugo – Les orientales

Introduction :

Il est paru en 1829, on peut considérez que c’est un œuvre de fantaisie créatrice. Il a adapté ce recueil à la mode de l’époque : Le courant oriental.

L’orient l’attire, pourtant, il ne l’a jamais vu. Il se documente grâce aux écrits d’autres écrivains, des rapports de voyages. Il va imaginez, « inventez » un orient, un peu fabuleux.

La révolte des Grecs contre les Turcs est aussi importante à cette époque. Les orientales vont vraiment séduire les partisans de l’indépendance mais aussi tous les amateurs d’exotisme.

« Je n’ai point encore vu de cartes routières de l’art, avec les frontières du possible et de l’impossible tracée en rouge et en bleue… »

Les romantiques sont avant tout poussés par l’imaginaire. L’orient, c’est le rêve.

Les turcs sont intervenus pour étendre leurs « domination », en réalisant le massacre de Chios [kios] (Grèce), des gens pendu, fusillé … En 1827, la domination Turc s’efface, grâce à la France, de la Russie et de l’Angleterre.

Présentation du passage :

Victor Hugo consacre son poème à l’enfance bafoué, humilié, martyrisé …

On a un registre pathétique, satyrique, merveilleux. Qu’il prenne partie des Grecs et non des Turcs, qu’il parle de l’enfant, du monde merveilleux montre le romantisme du poète.

On a l’évocation de l’orient « mystérieux », qui est aussi un élément du romantisme.

Le poète va proposez des remèdes aux malheurs de l’enfant, qu’il va refusez pour demandez « de la poudre et des balles. »

I- La destruction matérielle.

Présence des champs lexicaux de la destruction. Les couleurs sont sombre : « noircie …, sombres … »

L’île des vins montre la richesse de l’île car à cette époque, le vin est quelque chose de précieux.

Il y a un contraste entre le bonheur passé et le malheur présent.

VICTOR HUGO EST UN POETE DE CONTRASTE. Il a un style « manichéen ».

Il utilise une anaphore de « Chio », ça donne un effet de plainte, un effet obsessionnel du malheur. C’est un synonyme du malheur depuis les massacres sur cette île.

II- Les conséquences affectives.

L’enfant rescapez souffre avant tous de solitude et de détresse morale ; ce qui en fait une figure pitoyable. A chaque fois, le poète propose à l’enfant, un moyen de le consoler. Le futur est lié à un champ lexical du bonheur et de la lumières.

Vers 16 « Azur », Vers 17 « Joie » et « Jeux ». La répétition du verbe « gaiement » au vers 20 insiste sur ce terme, c’est un chiasme. Au vers 31 « sourire », est également un mot de l’affectivité heureuse. Les éléments poétiques de la nature, le bonheur y est étroitement lié. C’est la nature qu’on trouve par exemple dans les 1001 nuits. C’est une nature mystérieuse et mythologique qui appartient au domaine de l’imaginaire et du rêve.

Le premier

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