Petite étude de poème Trois Ans Après ... De Victor Hugo
Dissertations Gratuits : Petite étude de poème Trois Ans Après ... De Victor Hugo. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar louloutett • 4 Mars 2013 • 372 Mots (2 Pages) • 20 228 Vues
Trois ans après », daté de novembre 1846,écrit par Victor Hugo, est le 3e poème du « Livre Quatrième : Pauca mea » du recueille : Les Contemplation. « Pauca Mea » rassemble des poésies de douleur, souffrance, où la mort de Léopoldine, fille de Victor Hugo, occupe une grande place. « Trois ans après » est la réponse de Victor Hugo à son public, qui le demande depuis son arrêt causé par la mort de sa fille. Il nous fait part de sa souffrance, et considère la mort de sa fille comme une injustice causé par Dieu. Pour une analyse plus complète de ce texte de type dialogué, nous pouvons découper ce poème en différentes parties :
Du vers 1 à 12 : Victor Hugo fait part de son besoin de repos. On peut relever le champ lexical du repos : repose, terrassé, dort, silence, paix, soir. Il parle de l’appelle de ses fans, puis de son refus à leurs appels. Le 3e vers : « Ne me parlez pas d’autre chose » fait référence au vers d’ouverture de « L’âme en fleur », livre qui parle beaucoup d’amour, chose que Victor Hugo à perdu avec sa fille.
Du vers 13 à 24 : Victor Hugo nous rappelle les décès qui ont marqués son existence : celui de sa mère et de sa fille. Beaucoup de terme se rapporte à la souffrance : deuil, solitude, tombe, nuit, désespère, souffre.
Du vers 25 à 80 : C’est un message adressé à Dieu, contrairement aux deux premières parties qui s’adressait à son public. Il se plaint d’une injustice. Il se compare à Adam, banni, à qui Dieu a mis fin aux fonctions de gardien du Paradis. Victor Hugo considère son travail de poète terminé. Il met sur la faute de Dieu, son arrêt d’écriture.
Du vers 81 à 125 : Victor Hugo s’adresse à son publique. Il lui demande du temps, pour faire son deuil. Qu’il le laisse en paix.
La forme de ce poème est à mon avis significative : La découpe du texte en une multitude de strophe donne une lecture saccadée, comme un sanglot. Le fait que Victor Hugo ai utilisé la première personne dans son poème donne une impression de confession, comme si...
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