Cyrano de Bergerac
Dissertation : Cyrano de Bergerac. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Mia Mulvihill élève • 7 Avril 2022 • Dissertation • 1 748 Mots (7 Pages) • 1 124 Vues
Une confiance persistante
présenté par
Mia Mulvihill
Travail présenté à
Mme Dagenais
dans le cadre du cours
Français 11e FRA3U-13
École secondaire catholique Paul-Desmarais
Le lundi 7 décembre 2020
Une confiance persistante
Cyrano de Bergerac, un personnage principal, ainsi que le titre de la pièce de théâtre, crée par Edmond Rostand un poète français en 1897. Rostand crée une pièce divers avec une multitude de thèmes incluant la comédie, la tragédie et l’amour. À cet égard, il a formulé des personnages avec des personnalités complexes et en amplitude. Au fur et à mesure que la pièce s'avance, on peut voir le développement et changement, des traits caractéristiques au personnage principale Cyrano. Il est l'héroïne idéale, brave, intelligente, courageux, fort, etc. Par contre, la qualité qui se distingue le plus est sa confiance. Il serait mis en évidence dans ce texte, les raisons pour lesquelles Cyrano est confiant, par exemple, le fait qu'il n'a pas peur d'exprimer ses émotions, il n'a aucun doute sur sa capacité de combat, il est capable d'embraser ses défauts.
En première lieue, Cyrano est un homme qu'il n'a pas peur d'exprimer ces émotions. On peut voir cela lorsqu'il se confie en Le bret en lui disant « - Mon ami, j'ai de mauvaises heures!/ De me sentir si laid, parfois, tout seul [...] »[1]. En effet cette citation révèle, que lorsque Cyrano fait face à un problème interne, donc ce qui concerne ses sentiments ou émotions, il ne s'abstient pas à les exprimer à quelqu'un. Ceci démontre, qu'il n'a pas peur de recevoir les réactions négatives de son entourage, car il est confiante dans qui il est et la façon dont il ressent. De plus, Cyrano est capable de bien s'exprimer lorsqu'il voit un scénario qu'il ne croit pas correcte. Par exemple, dans l'acte II Cyrano exprime que « Exécuter des tours de souplesse dorsale ? [...] D'une main flatter la chèvre au cou Cependant que, de l'autre, on arrose le chou, Et, donneur de séné par désir de rhubarbe, »[2] ne sont pas des choses qu'il est en accord avec et qu'il ne va jamais faire. Cette citation vient de Cyrano après que De Guiche lui offre de la « protection » pour l'écriture de ses poèmes, ce qui veut dire un employeur, mais cette protection va changer les poèmes, ce qui va avoir un effet sur la personnalité mise dedans par Cyrano. Ceci était une grosse décision à faire puisqu'en disant non à la protection, Cyrano va manquer la possibilité de recevoir de grosse sommes d'argents et de gloire. Tout au long de l'histoire Cyrano ne s'associait pas avec les gens du haut de gamme, donc pour respecter lui-même et pour ne pas revenir sur sa position, il refuse cette offre, car il sait qu'il ne respecte pas De Guiche et prendre cette offre briserait plusieurs de ses morales.
En deuxième lieu, Cyrano est confiant dans son habilité de combat. Il va affirmer cela lorsqu'il réplique au commentaire « Mais cent hommes!... »[3] ce qui est dit par Cuigy en référant à la situation de Lignière où cent hommes de classe supérieure, vont être envoyés pour lui combattre après qu'ils ont pris compte de la chanson moqueurs écrit par Lignière. Lorsque Cyrano entend cela, il réplique : « Ce soir, il ne m'en faut pas moins! »[4] . Il est difficile pour un individu emprunté ou ayant une faible estime de soi d'entrer dans une bataille, seul, avec cent hommes, c'est pourquoi Cyrano relève ce défi, car non seulement il est fort physiquement, mais il est aussi fort mentalement.Pour continuer, il ne ce contente pas de belles paroles, mais exige un engagement authentique. Un exemple de cela, est lorsque Cyrano annonce « Vantardise ?...Prêtez-la moi./ Je Moffre à monter, dès ce soir,/À l'assaut, le premier, avec elle en sautoir. »[5]. On voit cette citation de Cyrano dans l'acte IV, scène 4, après que De guiche raconte aux cadets que la bataille est devenue intense et qu'il a enlevé son écharpe blanche pour échapper du champ de bataille sans être vue. Cyrano accuse De Guiche d'être une poule de mus offre de retourner batailler lui-même. Cyrano est l'un des seuls hommes de toute la pièce à tenir sa parole. Il le montre particulièrement bien dans lorsqu'il est en bataille, qui vient de son affirmation de soi et de sa confiance. Il est dramatique dans sa façon de parler de lui-même, mais c'est parce qu'il est capable de faire ses preuves en faisant ce qu'il dit pouvoir faire. C'est l'une des principales choses qui différencie Cyrano des autres hommes, son niveau de confiance sur-le-champ de bataille se traduit directement par ses performances supérieures.
Enfin, en regardant le côté le plus humble de Cyrano, on peut voir qu'il n'a pas peur d'embrasser ses défauts. En effet, on a reçu une perspective différente avec l'aide de cette extrait de tirade,
Ah ! non ! c'est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire... Oh ! Dieu !... bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j'avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l'amputasse ![6]
C'est Cyrano qui débute cette longue chaîne d'insultes comiques et poétiques à propos de son propre nez suite à la tentative ratée par Le Vicompte, qui avait essayé de lui humilier devant une foule de spectateurs. Tenant compte du réplique à Cyrano,
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