Mémoire Sur Albert Camus

Albert Camus, Philosophie du voyage?

Né à 7 novembre 1915 près de Bôme (Nord de l'Algérie). Son père est mort quand il était très jeune (à la guerre près de Verdun). Sa mère faisait des ménages pour vivre. Il vivaient à 5 avec son grand frère et sa grand-mère, ils étaient très pauvres. Il voulait devenir footballeur. À l'âge de 17ans on lui annonce qu'il a la tuberculose. À partir de se moment il commence à lire et décide de devenir écrivain. Il jalouse tous ceux qui ont eux, le droit de vivre. Il ne meurt miraculeusement pas de sa tuberculose et va vivre toute sa vie avec elle.

L'Algérie lui inspire le voyage : Son premier voyage se fait en Algérie près de chez lui (à Tipasa) où il voit des ruine romaine près de la mer. Il est frappé par la joie de vivre qui s'y trouve. Une fois rentré il écrit un essaie très court, très simple sur la joie de vivre nommé Les Noces.

Il va se passionné de philosophe tel que Nietzsche ainsi que d'écrivain écrivant sur la douleur. Il fait un autre voyage à Prague duquel il va ramener un autre essaie L'Envers et l'Endroit, où il parlera de la mort, et de son in-importance tant qu'il y a le soleil. Ce sera le point décisif dans la jeunesse de Camus, lors de son premier voyage en Europe (dépaysement) duquel il va ramener une morale après une prise de conscience par rapport à l'absurde.

En tant que pauvre il ne connaissait la frustration et se satisfaisait du bonheur apporté par les gens, par le soleil. Il va dire qu'il n'a pas commencé sa vie par le déchirement mais par la plénitude. On peut croire qu'il est né épicurien (même quand il est malade il veut continuer à vivre de telle façon) et qu'il deviendra stoïcien. À 22aans il décide vouloir faire un voyage au long des îles et des Côtes de la Méditerranée. Cette année là, la guerre se déclare, voyage annulé. Il va donné des cours à des enfants juifs. Puis va devenir journaliste. Il e marie également peu de temps après.

Louis Germain voit chez lui un potentiel tel, qu'il lui offre des livres, lui propose des bourses pour pouvoir aller au lycée.

Il fume malgré sa maladie (petite provocation à la vie?).

Il va vouloir s'engagé dans l'armée mais ce lui sera refusé. En 1942, L'étranger et Le mythe de Sisyphe seront publié et très mal reçut. Le mythe de Sisyphe (ensemble de texte : Essais de 120 pages) parle d'un homme condamné à monter une pierre en haut d'une montagne, une fois celle-ci en haut elle roule de l'autre côté jusqu'en bas (tel le schéma de l'Homme recommençant toujours la même chose. Parlant là de l'absurde de la vie, il conclue en faisant imaginé à ses lecteur Sisyphe heureux : la vie est absurde certes, à nous de lui donner un sens. Camus écrit que l'inverse (=le négatif) du suicidé c'est le condamner à mort au travers le livre l'Étranger.

En 1944 il part à Paris, ville triste et froide selon lui . Toute sa vie il gardera le souvenir de cette jeunesse de midi. Il rencontre André Malraux. Il obtient le prix noble de littérature alors qu'il n'a rien écrit depuis deux ans. Malraux vient juste de faire publier La Condition humaine et Camus sent que ce prix devrait être reçut par Malraux.

Confrontation entre le milieu parisien et le milieu dans lequel il a grandit.

Il devient célèbre en publiant dans les journaux, journaux qui s'adresse à tout à chacun. Camus devient l'Homme du peuple. C'est pour cela que de gens comme Sartre le prennent de haut, mais c'est aussi pour ça que L'Étranger devient le livre le plus acheter d'un auteur français à l'étranger du 20ème siècle.

Le véritable journalisme, qui doit informer dans une quête de vérité doit posséder certaines qualités : La lucidité, le refus, l'obstination et manier l'ironie et manifester une pensée (prendre position).

La lucidité de Camus se développe dans sa douleur par la maladie, confronter à la douleur de la guerre.

Il est invité en Amérique du Sud pour donner des conférence (vue le rapprochement du climat avec l'Algérie il s'y plaira). Après une rechute dans sa maladie il rentrera se faire soigner et produira l'Homme révolté (parlant de l'homme qui cherche un sens face à ce qui n'en a pas : le monde).

Rimbaud : « Il faut changer la vie » c'est refuser le meurtre, c'est que chacun face ce qu'il peut pour changer le monde.

Marx : « La révolution

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