Biographie d'Albert Camus

Biographie d’Albert Camus        

Albert Camus est né sur le 7 novembre en 1913. Il ne dans un petit village appelé Mandovi, proche de Annaba dans le Nord-Est de l'Algérie Française. Il est le second fils de Lucien Auguste Camus, un vétéran de guerre, et de Catherine Helene Camus, une femme de ménage et une ouvrière dans une usine. Mais l’origine de la famille de Camus provient de Bordeaux, le premier ancêtre de la famille qui s’est déplacé en Algérie faisait partie de la première vague de colons français. [pic 1]

Avant que Camus ait célébré son premier anniversaire, la Première Guerre mondiale a pris place et son père est rappelé pour le service militaire. Il meurt en Octobre 1914 à la première bataille de Marne. La seul chose que Camus a appris par rapport à son père est qu’il était complètement contre la pénalité de mort après avoir assisté à une exécution publique. Cela peut être reflétée dans ses textes de littérature, par exemple l'Étranger.

Après la mort de son père, camus et sa famille déménagent à Alger pour vivre avec son oncle maternelle. Sa mère travaillait dans une usine de munition en étant une femme de ménage a la même fois. Dans son oeuvre autobiographique, Le Premier Homme, il raconte que cette période de sa vie était remplie d’affection et de douleur avec de la pauvreté sévère qu’il a pu se distraire et oublier grâce à des activités avec sa famille.

Il était inscrit dans une école locale, Ecole Communale, en 1923, il rencontra Louis Germain qui l’a influencé à s'intéresser à son éducation qui le mène à être offert en 1924 une bourse pour étudier au Grand Lycée. Ce lycée était proche de Kasbah, une partie avec une grande communauté musulmane où il se familiarise avec le terme d'étranger.

C’est au Lycée qu’il s'intéresse à la littérature, l’art, le théâtre et au filme. Il apprend même le latin et l’anglais pour accompagner son évolution intellectuelle.

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 À cette époque, le football et se fait une réputation de gardien de but. Il aussi découvre la philosophie. Mais pendant cette époque, il commence à s'inquiéter après plusieurs crachements de sang et en décembre 1930, il est diagnostiqué avec la tuberculose. Il évoquera cette expérience dans son premier essai d'écriture, ‘L’Hôpital du quartier pauvre’ qui remonte vraisemblablement à 1933. C’est à ce moment que sa passion pour le football prend fin. Camus alors s'intéresse à Jean Grenier où qui lui fera découvrir Nietzsche.

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Retours:

Camus est retourné en France en 1942 et, un an plus tard, a commencé à travailler pour le journal clandestin Combat, le bras journalistique et la voix du mouvement de la Résistance française. Durant cette période, tout en luttant contre des épisodes récurrents de tuberculose, il publie également Le mythe de Sisyphe, son anatomie philosophique du suicide et de l'absurde, et rejoint Gallimard Publishing en tant que rédacteur, poste qu'il occupe jusqu'à sa mort.

ENGAGEMENT POLITIQUE ET LITTÉRAIRE:

Dès 1945, Camus écartait de toute idée de révolution. En octobre 1951, Camus publie ‘L’Homme révolté’ qui efface toute l'ambiguïté sur ses positions à l’égard du régime communiste.  Cette oeuvre est dirigé directement au communiste qui utilise la violence pour essayer de mettre en place le communisme, il émit l'idée de justice. Camus ne croit pas en l'idée de sacrifier le peuple de maintenant pour le peuple du futur, mais au contraire se concentrer sur la vie des personnes d nos jours. Le communiste à qui il s’opposa principalement était Sartre, Camus et Sartre ont eu conflit qui dure jusqu'à la fin de sa vie. Pendant cette époque, Sartre rédige un grand nombre de critiques et dirige un ‘mouvement’ contre Camus compose d’autres intellectuels communistes qui s’opposent tous à Camus.

En 1954, il s’installe dans son appartement parisien, où il devient poète et résistant français. En 1956, Camus publie ‘La Chute’ qui est un livre pessimiste dans lequel il parle de l’existentialisme. Pendant cette période de sa vie, Camus semble avoir perdu la morale et ses principes qui etaient presents au debut de sa vie. Par exemple lors de la Guerre de l'Algérie, il parle de l'indépendance du peuple algérien au gouvernement français et dit “L'indépendance est purement passionnelle”

 Il retombe dans le nihilisme et semble utiliser les femmes comme méthode de se distraire de la mort.

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