En quels sens peut-on dire avec le philosophe Alain que « penser c’est dire non » ?

En quels sens peut-on dire avec le philosophe Alain que « penser c’est dire non » ?

Afin de répondre à la question posée, il faut préalablement définir ce que signifie « penser ». Dans le texte soumis à l’étude le philosophe Alain dit que penser signifie dire « non » ce qui veut dire que la pensée est un exercice dynamique, un effort à fournir. Penser signifie également exercer un activité intellectuelle et rationnelle. C’est le fait de juger et d’exercer son esprit. Penser est un jugement de réalité ou d’existence porté sur un fait ou une chose. Le philosophe Alain critique donc par cette « définition » les préjugés et les opinions qui sont des idées préconçues n’ayant pas nécessité de penser.

Ensuite on se demande également ce qu’Alain entend par l’expression « dire non ». semble-il que ‘dire non’ est une façon de critiquer et de remettre en question des idées. Cela permet donc d’avoir une réflexion sur une idée.

Alors en quel sens peut-on dire que penser c’est dire non ? AUTREMENT DIT, LA NÉGATION PERMET ELLE DE DEPASSER LES IDÉES PRECONCUES GRACE A SA FOCNTON CRITIQUE ?

Alain affirme que acquiescer est la manifestation d’une absence de pensée. C’est consentir à ne pas chercher autre chose et préférer rester avec des idées préconçues, des opinions. Dire oui est une marque de respect adressé a ceux qui m’ont dit des choses. Ces choses sont alors devenues pour moi des préjugés des lors que j’ai acquiescé au lieu de dire non et d’y réfléchir par moi-même. ( exemple 1 )

La soumission aux autres relève de ma responsabilité car j’ai le choix d’être d’accord avec une idée préconçue ou d’y réfléchit par moi-même même si cela me demande un effort et de prendre des risques comme le dit Alain : « de s’opposer au tyran »

Remettre en question et dire non c’est ne pas consentir aux idées préconçues communes. Dire non permet d’examiner les choses en elles même et d’y penser. Le fait de nier ce que l’on croit permet de développer une pensée et de ne plus être l’esclave de ses croyances. ( exemple 2 )   Le mot « non » a une fonction critique, il forme la pensée et s’identifie à elle.

Il ne suffit pas de dire non pour penser. la négation permet par la suite une remsie en question / en cause des différentes idées et choses. Cette remises en question permet de faire une alysse plus poussée de l’idée préconçue ( ou autre ) et d’en tirer une réponse rationnelle et intelligentes

Les collaborateurs de la seconde guerre mondiale sont des personnes qui ont préféré acquiescer afin d’éviter qu’un  « tyran » comme l’appel Alains s’en prenne a eu.  Ils n’ont pas remis en question les actes et pensées des nazi. ils n’ont pas pensé , réfléchit et on agit comme on leur a dit de faire. ( exemple explicatif )  ( exemple 1 )

On peut ici prendre comme exemple les résistants de la seconde guerre mondiale qui ont remis les théories raciales en question en les niant et qui ont donc penser par eux même. (exemple explicatif n° 2)

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