Présentation de la peinture Guernica de Picasso
Cours : Présentation de la peinture Guernica de Picasso. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 17 Octobre 2013 • Cours • 335 Mots (2 Pages) • 799 Vues
Ce tableau s'appelle Guernica, qui est le nom d'une ville espagnole bombardée le 26 avril 1937 par l'aviation nazie, alliée de Franco. Il a été peint par Pablo Picasso (peintre espagnol vivant en France) en 1937 pendant la guerre d'Espagne. C'est une des oeuvres les plus célébres de Picasso. C'est une huile sur toile. Il est maintenant exposé au musée de la reine Sofia à Madrid.
-Tableau de 782x351cm ce qui produit un effet monumental.
-Ce sont des formes géométriques qui forment le tableau ce qui l'inscrit dans le mouvement du cubisme.
-Ce tableau reprèsente une scène de violence, de douleur, de mort et d'impuissance.
-L'effet global de noir et blanc symbolise les photos de guerre car Picasso e été profondément choqué quand il a vu les photos du massacre dans la presse. Cette absence de couleur symbolise aussi la mort des victimes ainsi que de la civilisation.
-Picasso se sert aussi de symboles empruntés à la mythologie espagnole, le taureau et le cheval ; le taureau c’est la brutalité et le cheval c’est le peuple.
-La figure centrale du tableau est un cheval blessé, une jument plus exactement, dont le corps est marqué par le viol. À gauche, une femme porte son enfant mort et hurle de douleur. Derrière elle, un taureau, impassible, image de la cruauté et de la force brutale. À droite du tableau, trois femmes désarticulées pleurent ou hurlent. En fond de tableau, des formes géométriques sombres évoquent des immeubles effondrés. En bas, une tête d'homme et un bras coupé tient une épée brisée. -Seule minuscule trace d'espoir, une main porte une toute petite fleur et il y a une épée brisée.
Ce tableau est une oeuvre engagée. L'auteur exprime toute l'horreur et la colère qu'il a ressenti à la suite du bombardement de Guernica. Il veut dénoncer les violences faites au civiles et dénoncer la tactique employée par les franquistes et leurs alliés.
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