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La Belle et la Bete

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Par   •  13 Février 2014  •  1 431 Mots (6 Pages)  •  1 711 Vues

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LA BELLE ET LA BETE

Jeanne-Marie Le prince de Beaumont est née a Rouen en 1711 et est décédée en 1780.

Elle est mère de six enfants , et a toujours exercé des professions tournées vers la pédagogie , tel que gouvernante , institutrice , et femme de lettre , elle a pu publié grâce a l'influence de son ami DEFOE , l'auteur de Robinson Crusoé, sa célébrité est dû au conte La Belle et La Bête d’où sort notre extrait , d'abord publié en 1757 dans le recueil Le magasin des enfants, à l'origine ce conte a été écrit au IIe siècle après JC par Apulée dans l’Âne d'or ou les métamorphoses et s'intitulait « amour et psyché ». Dans notre passage , le père de la belle vient de la laisser et c'est pour la première fois qu'elle se retrouve avec pour seule compagnie la Bête ( ≈nœud de l'intrigue dans le théâtre)

A travers leur conversation , nous découvrons le caractère des personnages principaux , notre passage est essentiellement centré sur la Bête , qui provoque une certaine curiosité puisqu'il s'agit d'un personnage irréel , c'est pourquoi ici , nous nous demanderons comment la Bête , un monstre physique, acquiert une humanité.

I)La Bete un personnage bestial du conte

Le conte

-le merveilleux : «  palais » allusion a un lieu de puissance où il y a des personnages extraordinaires

« montre » personnage inhumain qui parle

-3 roles bien definis → aspect simplifié , conte pour enfants

leur noms sont explicites et indiquent leur place dans l'intrigue

Un monstre pour lui meme

- « j'ai le cœur bon mais je suis un monstre » opposition qualité/defaut

-figure de dépréciation ( reduction) indiquant une forme de grandeur

« je sais bien que je ne suis qu'une bête » (savoir-homme , bete-animal)

≈ « je ne sais qu'une chose, c'est que je ne sais rien » Socrate repris par Platon

OR principe de la betise : ne pas de rendre compte que l'on est sot

=> APPRECIATION DE LUI MEME QUI N'EST PAS A LA HAUTEUR DE LUI MEME

Un monstre pour les autres et selon le narrateur

-narrateur : « ce monstre » mais attenuation « cette pauvre bete » adj anteposé ≈compassion, pitié

-belle(les autres):Elle tremble , a peur du monstre , la vision de la Bete lui inspire de la peur

« ne put s'empeche de fremir » instinct involontaire de tout homme

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