Classicisme et Madame de Clèves

Le classicisme est un mouvement culturel, esthétique et artistique, qui se développe du XVIIème siècle et le  XVIIIème, de 1630 à 1725. On peut le définir comme un ensemble de valeurs et de critères essentielle a respecter pour atteindre l’objectif de «l’idéal». Ceci s’incarne dans la notion de l’« honnête homme » ce qui développent une esthétique et un art fondée essentiellement sur une recherche de la perfection et de l’idéal donc.

Les principales « valeur » du classicisme sont donc raison, retenue, ordre, clarté et mesure, ceci afin de plaire au plus grand public sans choquer.

Le classicisme concerne la littérature du XVIIème siècle, en particulier le théâtre, mais aussi d'autres arts comme la musique, la peinture ou l'architecture. 

Le classicisme est étroitement lié au règne de Louis XI. En effet, il a réuni de nombreux artiste classique autour de lui, afin de développer ce mouvement, ce qui permettra en partie d’étendre ce style d’art et de littérature au plus grands nombres.

Date a connaître

Les auteur classique cherchent donc a atteindre une langue pure et claire, le style doit être élégant et c’est pour cette raison qu’est crée en 1635 l’académie française afin d’essayer de conserver et perfectionner la langue française au plus haut niveau.

Un souci de l’équilibre et de la mesure est également en place, avec la règle des 3 unités, (temps, action et lieu.), la mise en place de la vraisemblance et de la bienséance dans le théâtre.

Racine,

PHÈDRE Phèdre est une pièce de théatre qui évoque l’amour de Phèdre pour son beau-fils Hippolyte, un amour donc incestueux. C’est une reprise de la pièce d’Euripide . Reprise donc classicisme car esprit de « d’imiter » les anciens, classique également car règle des 3 unités et bienséance (pas de contenu choquant). Phèdre, a la manière de Mme de Lafayette dans La princesse de clèves, met en scène la destruction qu’entraîne la passion et nous invite a écouter notre raison.

La Fontaine, Fables

FABLES.Ces Fables sont encore une fois représentative de l’esprit classique, avec une certaine reprise par des auteurs anciens. (classicisme). Ces fables ont comme objectifs de plaire et d’instruire (classicisme). Mais tout cela reste dans le but de faire écouter et comprendre le mieux possible la fable écrite à la fin.

La Bruyère, LES CARACTERES Dans cet œuvre, l’auteur dresse des portraits de personnage, en cherchant le plus possible à dénoncer un défaut humain. C’est donc des portraits satiriques à l’image de Gnathon, illustration de l’égoïsme.

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