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Pergolèse

Commentaire d'oeuvre : Pergolèse. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  14 Septembre 2018  •  Commentaire d'oeuvre  •  646 Mots (3 Pages)  •  697 Vues

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stabat mater :

pièce 2:

la première pièce était carractérisé pas une athomsphère pesante baignant dans une douleure déchirante apporté par un quatuor à corde ainsi qu'une voix d'alto et de soprano.

la deuxième pièce contraste la première par une athmosphère plus légère même si une sertaine pénibilité se ressent ici encore.

nomenclature intrumentale :

-solo soprano

-quatuore à corde : (v1 v2 alto violoncelle )

-clavecin

Plus rapide que la première, cette pièce utilise un tempo andante amoroso (= enallant amoureux )sur une métrique ternaire de 3/8 (=dans la mesure ternaire la pulsation est divisible par trois : noire .  = 3croches ) et une tonalité de do mineur.

elle est carractérisé par des contrastes entre différentes nuances, et par un chant voyageant entre liaison, hachement et accents.

son découpage correspond à une forme strophique, c'est à dire que la musique suit le texte en latin. ce texte est comme dans la première pièce annoncé dans l'intro par les v1 et v2 qui font préalablement entendre le motif musical que la voix suivera.

dans l'introduction musical on peut également remarquer un jeu d'opposition entre les violons et la basse (alto, violoncelle, clavecin), pendant les 8 premières mesures  les violons jouent croche noir alors que la basse joue le contraire, c'est à dire noire croche, noire croche. toute fois les deux s'accordent sur un même rythmes dans la quatrieme et huitième mesure en jouant simultanément le rythme deux croches. Ces huit premières mesures correspondent à la première strophe chantée.

le chant porte un charactère fort, décidé, majestueux, accompagné par la basse jouant une marche ternaire, on pourrait meme y trouver un aspect d'enervement de colère par l'utilisation des accents. le versé est claire par l'utilisation casiment uniquement du chant syllabique. Les deux premier vers sont déclamés rapidement car correspondent au huit première mesure chanté, le mot pertransivit est enuite répété deux fois une fois de manière melismatique puis de facon syllabique afin de mettre en avant la douleur de la vierge.Le chant  met toute fois égalementen avant  le dernier mot "gladius"  , par l'utilisation d'un chant melismatique ce qui attire bien évidemment l'attention de l'auditeur sur cette douleur physique ressentie.

Cette première partie est definissable par sa carrure en 4+4+2+4, elle se fait suivre par une deuxième phrase cette fois si en 2+2+2+2+(3+2) accompagné par de "la pedale de mi" par l'alto, c'est à dire qu'elle ne joue que cette note, de manière tenue sur 6 mesures, ce qui donne à ce passage un caractère plus doux. Vient ensuite encore une fois la répétition de pertransivit gladius de manière presque identique, on peut remaquer que dans la première fois le son "i" est chanté en forte afin d'accentuer se son aigue synonime du transpersement.

cette phrase se termine par une pose de la voix, qui est absente pendant 4 mesue marquant comme une reprise de soufle de la vierge.

la phrase suivante est découpé en deux vers groupé + un vers séparé, qui attribue à sa première partie un aspect lié (joué sur un mode légato), puis caractérié dans deuxième partie par des mouvements descendants de l'alto et de la basse (symbolisant Dieu portant un regard bien veillant sur le croyant ) alors que la voix chante la meme note aigue que le violon 1. chanter dans l'aigue de manière forté est emplifié par l'accompagnement du violon, cela donne une touche dramatique à ce passage.

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