L'Art De Rodin

Auguste Rodin

Gsell, qui a accompagnait Rodin pendant 1 année, nous explique ce celui-ci ne fonctionne pas comme ses confrères. Cela va de l’observation, à la conception de l’œuvre et à une autre philosophie de la vie.

Pour lui un modèle étant un être humain c’est quelque de la Nature. Et on ne contrôle pas et on ne change pas la Nature. Il laisse libre ses modèles de bouger comme ils le souhaitent. Ce n’est pas lui qui indique le mouvement qu’ils doivent faire, mais c’est lorsque qu’un modèle tient une position intéressante qu’il leur dit de reprendre cette pose.

Tandis que ses confrères donnent une position précisent aux modèles.

Car pour lui on ne commande pas la Nature. En traitant, et en violentant la Nature ainsi, ils ne produisent pas d’œuvre avec beaucoup d’âme.

Il dit aussi que lui ne modifie pas la Nature. Et si il l’a modifié quelque peu c’est inconscient, involontaire.

Pour lui, si la nature est modifiée, l’œuvre sera morte. Id est sans émotion, sans vie. Cela ne sera donc pas une œuvre d’art.

Pour l’artiste rien n’est laid. Seuls les gens compétents sont capable de comprendre une œuvre (comprennent que même si le corps n’est pas le plus beau, il reste l’âme, donc tout est beau a l’intérieur par conséquence la personne devient belle a l’intérieur)

« Il ne travaille que pour les connaisseurs ». Pour lui seule la critique de ceux qui connaissent l’art dans toute sa splendeur et qui l’étudie ou la pratique peuvent se permettre de « critiqué », faire des commentaires sur la laideur . Pour lui les autres, leur critique lui est complètement égale.

Il dit que même eux ont exprimé la laideur mais ce fut une telle œuvre, provocant tellement d’émotion qu’on ne voyait, à force plus la laideur.

Il ne comprend pas que les gens soit choque lorsqu’il rélise une sculpture représentant une personne sans âme et sans charme. (« ils redoutent les vérités philosophiques trop rudes » p30 L9-10)

Pour lui la laideur dans la vie réelle et la laideur dans l’art ne sont pas la même chose. La laideur dans l’art devient belle, intriguante et pleines de mystères.

Dans la laideur il y a plus de caractère ce fait ca devient plus beau. ( « C’est la puissance du caractère qui fait la beauté de l’Art p33 L4-5).

Ce qui est laid dans l’art c’est ce qui est faux, c’est ce que les vrais artistes pensent sinon ça n’en sont pas.

Il a expérimenté une nouvelle méthode d’observation. C’est-à-dire qu’il observe les statues la nuit (sans la lumière du jour) avec une lampe. A partir de la on peut tout voir, dans les moindre détails une sculpture.

Il enseigna au jeune homme la science du modelé. Qui permet de rendre des choses « réelles ». Id est, avoir l’impression qu’elles sont réelles et éprouver une sensation étrange.

« L’art n’existe pas sans la vie »

Après avoir initiat son « élève » au modelé, Gsell apprend le « mouvement ». Comment donner l’impression qu’une statue bouge. C’est une sorte de métamorphose de la statue. Il compare les mouvements immobiles des photographies aux œuvres

...