La désinformation

De nos jours, avec la facitilité d’accès à de l’information rapide et instantanée, on lit et écoute des choses qui nous informent de l’actualité tant bien en France, que dans la région / département ou encore même dans le monde.

Cette rapidité d’accès à l’information ainsi que la diversité des médias lanceurs d’alertes entraînent un fort risque de désinformation.

En effet, du fait d’une simple recherche Internet par exemple, on peut se retrouver sur un site web à but informatif avec des sujets, des informations qui ne sont pas vérifiées, où les informations qui y sont écrites sont erronées. Un fait peut être truqué de sept manières différentes : affirmé, nié, passé sous silence, grossi, diminué, approuvé, désapprouvé, ce qui augmente le risque de désinformation.

Compte tenu du contexte sanitaire actuel, la désinformation à propos de l'épidémie est bien présente et représente une partie importante des informations diffusées dans les médias, étant donné la quantité massive de données produites au cours des interviews, reportages. Des informations ont donc pu être diffusées sans pour autant être sourcées, vérifiées et correctes ; ce type de désinformation entraîne, par exemple, une “ croyance “ aux théories du complot : selon un sondage datant de février 2019, 52% des personnes interrogées y sont hermétiques alors que le reste des personnes interrogées y accordent plus ou moins une confiance relative.

Selon la loi du 22 décembre 2018, “ les opérateurs de plateforme en ligne mettent en oeuvre des mesures en vue de lutter contre la diffusion de fausses informations susceptibles de troubler l’ordre public “

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