Soldat Ryan
Commentaire d'oeuvre : Soldat Ryan. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Bastien10 • 28 Décembre 2015 • Commentaire d'oeuvre • 1 137 Mots (5 Pages) • 1 255 Vues
Histoire des Arts :
Comment les artistes dénoncent-ils les violences de la guerre?
Pour traiter la question nous avons choisit:
Il faut sauver le
Soldat Ryan
1- Introduction :
Pour traiter la question «Comment les artistes dénoncent-ils les violences de la guerre ? », nous avons choisi un extrait du film «Il faut sauver le soldat Ryan » de Steven Spielberg sorti en 1998.
Steven Spielberg est un réalisateur, scénariste et producteur américain qui est né en décembre 1946 donc cela veut dire qu’il n'a pas connu la seconde guerre mondiale (1939-1945).
Surnommé « The Entertainment King » (« le roi du divertissement »), il produit de nombreux films (E.T l’extra-terrsetre, Gremlins…) et de trilogies (Men in Black, Transformers, Indiana Jones …).
C'est dès l'enfance que Steven Spielberg, personnalité la plus influente du 7ème art, s'est destiné à devenir cinéaste. Le jeune garçon réalise en effet très tôt ses premiers courts métrages. Spielberg a personnellement reçu trois Oscars.
Steven Spielberg s’est inspiré des photos de Robert Capa, un photographe qui a vécu toute la guerre parmi les soldats et qui a fait partie de la 1ère vague d'assaut à Omaha Beach : ses photos du débarquement sont floues se qui traduit la dureté des combats. Ce film est le meilleur jamais encore réalisé sur le débarquement d'Omaha Beach. Les jeux de caméras, qui ont été utilisées sur l'épaule, donnent un effet de présence dans l'action très novateur.
2- Contexte historique :
C’est au cours de l’année 1943 que les Américains, les Anglais et les Canadiens décident de lancer une opération de grande envergure contre l’armée allemande à partir des côtes françaises. Les Alliés préparent donc, dans les premiers mois de 1943, des plans comme le plan Overlord (plan aérien qui consistait à bombarder des lieux stratégique). Pour débarquer, les Alliés ont lancées l'opération Fortitude qui leurs a permis de faire croire aux nazis que le débarquement aurait lieu dans le nord de la France. Les troupes se préparent à accoster les plages normandes, en particulier Omaha Beach (c’est l’appellation utilisée par les Alliés pour désigner l’une des cinq plages du débarquement de Normandie). Divisées en cinq secteurs, que se répartissent les Canadiens et les Britanniques (à l’Est) et les Américains (à l’Ouest), ces côtes étaient moins bien défendues par la Wehrmacht (nom porté par l’armés allemande) : le « mur de l’Atlantique » y était plus vulnérable. Sous le commandement suprême du général américain Dwight Eisenhower, les Alliés se lancent à l’assaut des côtes normandes dès le 5 juin 1944 : des opérations sont menées par les parachutistes à l’intérieur des terres, avant que les fantassins, surnom donnée aux soldats qui combattaient à pied et les blindés, véhicules militaires, transportés sur de multiples embarcations crées pour l’occasion. Les Alliés attaquent depuis les plages l’armée allemande le matin du 6 juin, à partir de 6h30, appelé Jour J ou D Day. Il y aura 3000 soldats tués lors du débarquement. Le 6 juin 1944, est une date historique marquant le début de la libération en Europe.
3- Description :
Au début de l’extrait, avant le débarquement sur les plages normandes comme par exemple celle d’Omaha Beach les officiers donnent les derniers ordres à leurs soldats. On peut lire la peur des soldats sur leur visage. Ensuite on distingue les premières embarcations qui se dirigent droit vers la Normandie. Certains soldats font leurs prières, certains vomissent, d’autres tremblent. L’ouverture des portes donne lieu à un carnage, les premiers soldats se font descendre par les tirs allemands, d’autres sautent à l’eau, on aperçoit les balles ricocher dans l’eau. Certains soldats sont emmenés vers le fond de la mer à cause de leur surpoids du au chargement de leurs matériaux de combats. Pour sortir de cette misère ils s’entraident. Les soldats ont peur, se cachent, n’osent pas prendre leurs armes ni avancer. Des milliers homme sont tués. Mais les soldats continuaient à avancé sur les plages. Dans ce film, il n’y à pas de musique, pour nous montrer la violence de la guerre. Le son donne ici à la scène un relief tout particulier pour le spectateur cerné par les balles qui sifflent à ses oreilles. Entre le bruit des détonations, les obus qui explosent, les cris, les corps qui coulent, on prend conscience de la peur de mourir des soldats.
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