Otto Dix

OTTO DIX

Der Krieg (1929-1932)

Présentation:

Titre: Der Krieg (la guerre)

Auteur: Otto DIX

Nature:Tableau de bois appelé triptyque

Création:10ans après la 1ère GM (1929-1932)

Biographie:

Nationalité: Allemande

Naissance: 2 décembre 1891

Nom de naissance: Wilhelm Heinrich Otto Dix

Activé: Artiste-peintre

Mouvement artistique: Expressionnisme, Nouvelle Objectivité

Décès: 25 juillet 1969 (77ans) Singen Allemagne de l'Ouest

Définition triptyque: Tableau composé d'un triple panneau dont les volets latéraux peuvent se replier sur le panneau centrale. Souvent retrouver dans des lieux religieux. Les peintres utilise cette forme de tableau a partir du XXe siècle.

Thème: la guerre,sa violence et ses conséquences

Description de l’œuvre:

Panneau centrale: L'enfer de la tranchée

Panneau latérale gauche: Les soldats montent au front

Panneau latérale droit: Le retour des soldats

Prédelle: La mort ou le sommeil

Les couleur dominante sont le noir, le rouge et le gris.

Les panneaux latéraux:

Les tableaux s'opposent:

Panneau latérale gauche: Les soldats vont au front

Panneau latérale droit: les soldats reviennent du front a demi mort

Panneau centrale: La fin de la guerre, sa violence et ses conséquences

Prédelle: Le début de la guerre quand les soldats dorment pour aller a la guerre à l'aube

Le panneau centrale:

Tranchée détruite (bois brûler, tol, hommes empilés les uns sur les autres).

A droite <) cadavres empiler les uns sur les autres, un corps a perdu un de ses membres, beaucoup de sang.

Arrière plan <) des ruines, c'est désertiques, impression que le squelette accrocher aux barres de fer vole et qu'il pointe du doigt les cadavres ensanglanté.

1 seul signe de vie dans cette partie du tableau: soldats équiper de masques d'oxygène, d'un casque et de vêtements long. On ne distingue pas son corps.

La prédelle:

Partie différente du reste du tableau: seul a ne pas montrer violence: elle est paisible: illusion (repos ou mort des soldats).

Interprétation de l’œuvre:

Dénonce la 1ere GM et son horreur: c'est la

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