La place de l'art
Cours : La place de l'art. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar jdlb • 18 Octobre 2017 • Cours • 1 375 Mots (6 Pages) • 667 Vues
La place de l’art _ Lettre
Les peintures rupestres sont l’une des plus anciennes forme d’expression et on considère qu’elles marquent l'accession des euminidés à une nature vraiment humaine. Puisqu’elle suppose des capacités d’abstraction et de symbolisation. Il n’existe pas de culture dans art et s’est même développée avec elle. Elle a permis de concrétiser l’idée du sacré et avait même une fonction magique. La sculpture est née pour représentée les dieux, la musique et la danse pour les honorer et même se les concilier. Ceci dit l’activité religieuse artistique s’est aussi exercée en dehors de la pratique religieuse en se donnant un idéal de beauté constamment redéfini. Le mot art désigne l’habileté, l’activité, le savoir faire en latin. Le pendant du mort art, artis est le mot technique. On retrouve cette signification dans l’appellation des arts et métiers. En effet durant tout le MO on oppose les savoirs faire (technique manuel, art mécanique) à ceux plus noble que l’on enseignait à l’université : les arts libéraux : l’arithmétique, la musique, la réthorique. Pour que les art mécaniques soient abolis, il a fallut qu’au cours des siècle, change le statut des peintre, des sculpteurs, .. qui furent longtemps des artisans prenant leur métier soit au sein d’un confrérie soit sous la tutelle d’un maitre artisan.
La fonction de l’art
L’art est un mode d’expression, à travers laquelle la vision individuelle de l’artiste n’est pas indépendante à la vision collective de ces contemporain qui la refuse ou qui l’accepte. En effet à travers leur pauvre, les artistes traduisent une certaine conceptions du monde en situant l’homme avec ce qui l’entoure. L’artiste exprime aussi des empotions qui sont d’un certaine façon indissociable d’être dans le monde et de vivre la condition humaine. Pour R. HUYGUE, « l’art se trouve au confluent de ce qui vient de l’intérieur et de ce qui est perçu extérieurement ». Cependant certain aspects de la création artistique restent encore dans l’ombre. Comme la difficulté par exemple d’exprimer la nature, qu’elle soit humaine ou environnante. Une lutte aussi qui s’exprime à travers le caractère fluctuant du beau qui est une notion idéalisée et relative et qui est intemporelle et actuelle. Et l’oeuvre d’art se trouve aussi de plus en pus associée à l’idée de travail, d’effort, de doute, d’échec. M. SERRES « il n’y a pas de beau sans travail ».
L’art a un rapport ambiguë avec le réel. En effet idée que l’art exprime nature sans la copier pose la question du regard et de la transcription. En effet tout emprisonnement dans des codes ou des conventions esthétiques risque de conduire à une vision normative du réel. Et c’est une vision de ce type que va faire éclater le cubisme ou le surréalisme. En superposant des plans par exemple, en mélangeant des angles de vision. Et en représentant systématiquement ce que l’on ne voit pas. Durant une longue période l’art à été compris comme une imitation fidèle de la réalité ou comme illustration de texte sacré ou célébration de la croix. Ces imitations bien qu’elles soient connotées, étaient aussi chargées de connotations diverses et constituaient des clés de déchiffrement intérieur et extérieur. Ce que l’on appel le réalisme en peinture est justement la volonté de montrer la réalité sans embellissement. En tout as l’art cherche à reproduire le réel ou tente de l’utiliser en le décodant.
L’art pour communiquer et exprimer
Communiquer : les artistes communiquent avec le public par la conceptualisation, c’est à dire par le jeu des couleurs, des sons, des matières, des formes, des mouvements, qui parlent au public en suscitant des émotions. Ainsi c’est une communication forte et affective, qui n’est pas rationnelles et que l’on eut qualifiée de plus puisante que le langage.C’est pourquoi cette force avec la force elle s’impose on pu inquiéter des religions qui ont interdit qu’on utilise l’art pour représenter Dieu, craignant que l’adoration vouée à Dieu fut celle son image, de son idole et que la fois ne se pervertisse alors en idolâtrie : c’est le premier des 10 commandements. L’origine de cet interdit est dan a Bible (Moise). La musique aussi communique aussi des empotions qui furent longtemps
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