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Bastilles Connexions

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Par   •  6 Juin 2016  •  Dissertation  •  778 Mots (4 Pages)  •  698 Vues

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Bastilles Connexions de Gérard Fromanger 

Intro :

A) Présentez la question/ sur le thème de la Liberté

B) Je vais vous présentez Bastilles Connexions de Gérard Fromanger publié en 2007.

C) Annoncer le plan :

« _Dans un premier temps, je vais vous présenter l’artiste.

_Dans un second temps, je vais vous faire une description de l’oeuvre.

_Dans un troisième temps, je vais vous faire une analyse / interprétation de l’oeuvre.

Et pour finir une conclusion. »

  1. Présenter l’artiste :

Gérard Fromanger est né en 1939 en France et à actuellement 76 ans. Il a fait ses études à l’Ecole des Beaux-arts de Paris. En 1965 il deviendra l’un des organisateurs du Salon de la jeune peinture. Puis en mai 1968, il est l’un des principaux animateurs de l’Atelier populaire de l’Ecole des Beaux-arts. Dans les années 1970 il devient proche des artistes de la Figuration narrative (est un mouvement artistique apparu, principalement dans la peinture, au début des années 1960) et participe à l’aventure de la Figuration narrative. Il vit et travaille à Paris et à Sienne en Italie.

  1. Description de l’oeuvre :

C’est un tableau, une peinture de 200cm sur 150cm, à l’huile et acrylique sur toile et il est fait avec une technique très personnel. Il est actuellement conserver et exposé au Centre Pompidou à Paris.

Au 1er plan, on aperçoit des corps qui sont blanches, le contour de chaque personnage est multiplié par des lignes de couleur juxtaposé (rapprocher,réunie)comme le rouge, bleu,jaune,etc. Le noir cerne les personnages. Les silhouettes sont neutre on ne sait pas de qui il s’agit ils sont anonymes et on pourrais se mettre à leurs place. On peut néanmoins distinguer les silhouettes féminine et masculine et les personnages sont verticaux. Ils sont dans la rue et peuvent attendre le métro, on repère également d’autre élément que les humains, les lignes qui sont hors-champs.

Au 2ème plan, remarque des façades d’un style bourgeois de bâtiments avec des fenêtres, un arrêt de bus, et avec l’indication de « Bastille » on se situe dans le quartier de la Bastille à Paris. C’est au centre et tout est lié par une ligne de réseaux.

Au 3ème plan, on a une vue aérienne, qui nous montre une carte de Paris, on voit le rond-point du centre de Paris qui permet de circuler et de choisir sa direction et son orientation. Le rond point est centré. Il pourrait représenter un soleil avec ses rayonnements et le fait qu’on puisse se réunir et qui montre d’une manière la solidarité et que c’est une oeuvre de paix. Ces lignes pourrait être des lignes de métro, de tram, de bus, de transport d’hiver et routier et ils sont mis en vue aérienne pour nous permettre de mieux voir tous cela et voir les liens qui peuvent nous unir. C’est aussi le coeur la vie, les vaines avec les vaisseaux etc. Le code coloré peut faire référence au électriciens, fil conducteur, humain, urbain.

Il y a une impression de désordre et d’abus pour dire et montré la quantité d’humain, de trajet et de direction différente qu’il y a. Mais c’est à la fois organiser et ordonné, tous se passe dans l’ordre des choses. C’est une ville en action sans fin. Et chacun a la liberté de choisir sa route, son chemin, cette oeuvre et semi-figurative. (l’artiste est pour la liberté)

  1. Analyse / Interprétation :

Ce quartier, qui est un symbole du pourvoir royal jusqu’en 1789, le site de la Bastille, devient après la destruction de la forteresse par les révolutionnaires le lieu du rassemblement de tout le peuple parisien dès lors que sa liberté est mise en cause. Gérard Fromanger a choisi de mélanger deux codes de représentation; d’une part un plan du quartier parisien dont il arpente quotidiennement les rues, et d’autre part, les trois couleurs primaires, le bleu, le jaune et le rouge pour signifier de possibles itinéraires. Sur cette toile un réseaux de lignes colorées s’entremêlent comme pour évoquer la machinerie du réel puis une énergie proliférante (envahissant). Il met en scène les relations qu’entretiennent les gens entre eux et les silhouettes étant rattachées entre elles par un réseau dense de lignes qui se croisent et s’entremêlent. Ces gens peuvent être lié par un lien familial, une même pensée ou l’appartenance d’un même groupe et toutes ces lignes mettent en place de multiples histoires que chacun peut symboliser en fonction de ses préoccupations du moment. C’est une oeuvre de paix, qui nous le montre en nous laissant la liberté de choisir notre orientation et le cours de nos chemins et de nos vies.

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