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Commentaire littéraire sur le chapitre 10 du roman la bête humaine de Zola

Commentaire de texte : Commentaire littéraire sur le chapitre 10 du roman la bête humaine de Zola. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  19 Février 2014  •  Commentaire de texte  •  610 Mots (3 Pages)  •  2 385 Vues

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Ca viendra bientot soyant patient mes Loulous .. ove! onjour, Je dois faire un commentaire littéraire sur la bête humaine de Zola le chapitre 10.Merci d'avance pour votre aide je constate l'utilisation du discours indirect comme c'etait loin cette mort qu'elle voulait/serait elle donc obligée de d'asseoir de l'attendre couchée en travers des rails(je ne sais pas ou placer ces exemples),utilisation hyperbole et comparaisoncrie pationnel,fataliste de flore,transfiguration mort flore,progression action avec connecteurs logique La problématique est comment l'auteur à t il préenté la mort de flore? Je pensais faire seulement 2 parties:je ne sais pas ou placer mes éléments 1)Un récit qui est dramatique mais touchant a)dramatisation du récit b)utilisation du registre pathétique/épique desespera/ ses pieds se lassaient/cette mort/elle vida ses poches 2)la mort héroique(courageuse) de flore mots qui marque le mouvement, la marche inexorable de Flore:aller ainsi depuis des heures,elle cheminerait des lieues et des lieues,marcher jusqu’au bout,poussée en avant,elle avançait ,sans cesser sa marche,Et elle marchait toujours, elle se dirigeait droit les images qui transfigurent personnages et objets;l’express, pareil à une petite étoile,d’un ciel d’encre,sa haute taille souple de statue,ce feu si vif, si gai, grandissant peu à peu,d’un souffle de tempête,l’étoile était devenue un œil énorme,l’orbite des ténèbres,une gueule de four vomissant l’incendie,le souffle du monstre,L’œil se changeait en un bcomme si, soulevée par une dernière révolte de lutteuse, elle eût voulu étreindre le colosse, rasier,roulement de tonnerre,ainsi qu’un insecte de nuit, Flore s’étonna cependant, car elle croyait aller ainsi depuis des heures. Comme c’était loin, cette mort qu’elle voulait ! L’idée qu’elle ne la trouverait pas, qu’elle cheminerait des lieues et des lieues, sans se heurter contre elle, la désespéra un moment. Ses pieds se lassaient, serait-elle donc obligée de s’asseoir, de l’attendre, couchée en travers des rails ? Mais cela lui paraissait indigne, elle avait besoin de marcher jusqu’au bout, de mourir toute droite, par un instinct de vierge et de guerrière. Et ce fut, en elle, un réveil d’énergie, une nouvelle poussée en avant, lorsqu’elle aperçut, très lointain, le fanal de l’express, pareil à une petite étoile, scintillante et unique au fond d’un ciel d’encre. Le train n’était pas encore sous la voûte, aucun bruit ne l’annonçait, il n’y avait que ce feu si vif, si gai, grandissant peu à peu. Redressée dans sa haute taille souple de statue, balancée sur ses fortes jambes, elle avançait maintenant d’un pas allongé, sans courir pourtant, comme à l’approche d’une amie, à qui elle voulait épargner un bout du chemin. Mais le train venait d’entrer dans le tunnel, l’effroyable grondement approchait, ébranlant la terre d’un souffle de tempête, tandis que l’étoile était devenue un œil énorme, toujours grandissant, jaillissant comme de l’orbite des ténèbres. Alors, sous l’empire d’un sentiment inexpliqué, peut-être pour n’être que seule à mourir, elle vida ses poches, sans cesser sa marche d’obstination héroïque, posa tout un paquet au bord de la voie, un mouchoir, des clefs, de la ficelle, deux couteaux ; même elle enleva le fichu noué sur son cou, laissa son corsage dégrafé,

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