Autoportrait à la manière de Michel Leiris
Mémoires Gratuits : Autoportrait à la manière de Michel Leiris. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 8 Mars 2014 • 1 282 Mots (6 Pages) • 16 015 Vues
Autoportrait à la manière de Michel Leiris
J'ai quinze ans mais bientôt seize. Au physique je suis plus tôt grand mais je ne ressemble pas à une asperge. Je suis brun les yeux marron vert qui plaisent beaucoup, surtout à ma mère. Un petit air coquin qui plaît bien et qui peut aussi être mal compris.
Un visage rond avec des oreilles de taille normale. Un front un peu développé, on me le dit quelque fois, mais pas tant que ça. Des cheveux souvent en bataille et pourtant je me coiffe tous les matins.
Le teint entre deux, pas trop pâle , pas trop bronzé, mais je le préfère tout de même l'été.
Mon corps est assez bien proportionné pas trop musclé il est vrai, mais pour l'instant seulement, je n'ai que quinze ans.
J ai comme dit ma mère, des tics qui l'énervent : comme faire craquer mes dix doigts le soir quand je regarde la télévision ou encore faire du bruit en mangeant mes spaghettis.
Je suis aussi comme tous les ados très bordélique et, me décide à ranger ma chambre que quand les poules ont des dents ce qui signifie pas souvent.
Je suis aussi assez turbulent et ce depuis mon plus jeune âge, mais je ne réponds pas à mes parents. Je suis tout de même obéissant pour un adolescent.
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Récit d'un événement historique
C'était en décembre je m'en souviens car c'était le lendemain de noël, le 26 décembre 2004.
C'était le soir, nous étions à table mes parents, mon frère, ma sœur et moi.Ma mère avais mis sur la table tout ce qui resté du jour de noël c'était encore un repas de fêtes.
Mes parent aiment bien écouter les informations sur TF1, le soir au moment du repas et c'est à ce moment là que j'ai vu ces images ou plutôt ce petit film tourné par un vacancier avec son téléphone portable.
On y voyait une grande vague s'abattre sur une plage des Philippines, où de nombreuses personnes étaient en train de s'amuser. Ils ne se doutaient pas de ce qui allait arriver.
On voyait cette vague tout emporter, les voitures, les gens, les arbres, tout ce qu'elle trouvait sur son chemin sans aucune distinctions de race, d'âge ou autre, où la vague passait s'était ensuite que destruction.
On y entendait des hommes, des femmes, des enfants criaient, pleuraient puis plus rien, l'espace d'un instant le silence. C'était fini.
Il ne restait sur l'écran de la télévision qu'une image fixe de désolation, de mort.
On y voyait des corps sans vis. Je ne pouvais pas imaginer qu'une simple vague puisse faire autant de mal. J'ai appris ce soir là ce que voulais dire le mot TSUNAMI mais j'aurai préféré ne pas le savoir.
Je ne peux pas dire exactement ce que j'ai ressenti de la colère peut être,de la peine sûrement, pour ces personnes qui ont perdu soit une femme, un mari, des enfants, en plus en cette période de noël qui est normalement un temps de fêtes et de bonheur en famille .
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C'est effrayant de se dire que l'on est si petit et impuissant face à la nature.
A ce moment noël était devenu insignifiant, ce mot ne voulais plus rien dire c'était l'enfer que je voyais. C'est bien cela que je ressentais ces images, ces pleurs, ces cris de peur, de désespoir me faisaient penser a l'enfer.
Le lendemain matin, j'ai appris que ce tsunami avait fait plus de 200.000 MORTS parmi lesquels de nombreux enfants, j'ai compris alors que j'avais raison c'était bien une vision de l'enfer que j'avais vu à la télévision.
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J'AIME J'AIME PAS
J'aime la nuit, les étoiles, le soleil, les fleurs, les cascades, la mer, l'odeur de la mer, l'Angleterre, les Etats-Unis, les îles, le ski, les montagnes, l'Italie, les pâtes à la bolognaise, le parfum de ma mère, les hamburgers, les films Américains, être avec mes copains, les chiens, me promener dans la neige, le coca-cola, les jolies filles, rire, jouer avec ma sœur, les montres, le blanco, les plumes, les vacances, la musique...
Je
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