Verlaine
Cours : Verlaine. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 23 Novembre 2013 • Cours • 341 Mots (2 Pages) • 1 350 Vues
Paul Verlaine surnommé « le Prince des Poètes » est avant tout le poète des clairs obscurs. Sa poésie le rapproche des œuvres impressionnistes. En effet, dans « Malines » tiré du recueil Romances sans paroles, parut en 1874, nous verrons que le poète utilise une démarche méthodique afin de donner aux lecteurs l'impression de contempler un tableau impressionnistes, ainsi, il fait une description très précise du paysage et crée une sorte de parcours du regard. Enfin, nous remarquerons que Verlaine représente un paysage en mouvement tout en laissant une atmosphère calme et sereine. Ce poème fut écrit par Verlaine, en août 72, lorsqu'il voyagé en train, plus précisément à Malines une ville de Belgique.
Tout d'abord, nous apercevons que ce poème est consacré à l'évocation des paysages. En effet, Verlaine établit une description très précise de « Malines » avec un champ lexical de la nature qui est formulé de manière très explicite avec « les prés » (v.5), répété trois fois, « les arbres » (v.6), les « frênes » (v.7) ou enfin « prairies » (v.9). De plus, le relevé « Blanc gazons » (v.10) et « Sahara » (v.9) désigne un paysage d'été, sous le soleil très chaud qui installe la scène dans l’irréalité. En outre, les couleurs sont également omniprésente, Verlaine parle de « Rouge de brique et bleu d'ardoise » (v.4) ou bien de « cieux à peine irisés » (v.15). De plus, l'auteur utilise implicitement des expressions qui contiennent également l'idée de couleurs. Notamment dans les « prés » (v.5) qui donnent l'idée de verdure. Ensuite, Verlaine décrit un tableau qui se caractérise également par son aspect vague et en même temps infini. Par exemple, les relevés, « vagues frondaisons » (v.7) et « les prés sans fin » (v.5) confirme cette opinion. Cela est aussi rendu par les sons doux du poème . En autre, avec les assonances en /é/ comme « échevin » (v.3) et « apaisé » (v.12).
Enfin, tous les paysages sont décris avec bienveillances. Notamment dans la connotation... [à continuer]
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