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Profet Arts Plastiques

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Par   •  1 Février 2015  •  743 Mots (3 Pages)  •  1 121 Vues

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LES ENFANTS BATTUS:

Les maltraitances faites aux enfants sont dans notre société un sujet tabou, comme l'était les femmes battues il n'y a pas si longtemps. Même si des enfants meurent tous les jours des mêmes types de violences que les femmes battues, on en entend pas parler dans les médias, (pas comme les très populaires "ni putes ni soumises")et les gouvernements non plus ne veulent pas défendre les enfants ou seulement les violences les plus visibles, c’est-à-dire lorqu’ils sont battus. Pourtant dans le monde, des millions d’enfants sont victimes de mauvais traitements et le plus gros problème est l’ignorance, le plus grand mal de l’humanité. L'ignorance c'est ne pas connaître la vie et ses mécanismes fondamentaux, c'est ignorer ce qui est.Qui pourra, enfin, leur rendre leur enfance ? ‬Eux qui étaient jeunes et dans l'innocence, enfants qui n’avaient pas connu le rire, ‬‬qui ont passé leur temps à souffrir, ‬‬et dont les larmes ont coulé en silence. ‬‬La peur du lendemain était si immense, parfois ils esperaient meme ne plus se réveiller et ils priaient pour un jour pouvoir tout oublier. Mais, au fond, ils savent très bien, que quelque chose ‬‬ précieux (l’enfance), en eux, ne sera jamais rose. ‬‬Ils savent également qu’aucun remède ne soignera leurs maux et stopper leurs “à l’aide” il faut sauver ces enfants don’t le corps est rempli de bleus et qui sont seuls chez eux un enfant joue et comme on dit l’enfance est notre seule periode de la vie ou on est libre de l’esprit ils faut que leur permette de jouer de s’amuser eloigner d’eux les angoisses de leur quotidien. Mais pour cela, ils ont vraiment besoin d'une main ‬‬qui les retire de leur monde si cruel.

Le fait choquant que j’aimerai donc défendre est : Le phénomène des violences infligées aux enfants. Ce qui m’a poussée à agir est le viol, début, mars, d'une fillette de trois ans dans un jardin d'enfants à La Marsa, qui a permis, au-delà de la large indignation qu'il a suscitée, de rouvrir un débat longtemps reporté et d'admettre, enfin, que ce type d'agression ciblant l'enfance tunisienne est loin d'être un cas rare et isolé. En effet ces maltraitance ont un effet sur eux c’est à l’âge adulte que l’enfant maltraité commencera à en souffrir et en faire souffrir les autres. Il ne s’agit pas là d’un problème de la famille uniquement, mais de toute la société. Les enfants battus apprennent très tôt la violence qu’ils utiliseront adultes en croyant à ce qu’on leur a dit : qu’ils ont mérité les punitions et qu’ils étaient battus « par amour ». Ils ne savent pas qu’en vérité la seule raison des punitions qu’ils ont subies était due au fait que leurs parents ont subi et appris la violence très tôt sans la remettre en cause. Et a leur tour ils batteront leurs enfants sans penser leur faire du mal. Ces informations sont très importantes, mais elles restent très rarement connues du grand public parce que la peur d'accuser les parents reste très présente dans notre socièté.

Comment dans ce cas pouvons nous à partir de l’art, mettre en oeuvre un projet qui nous permettera d’afficher au grand jour cette violence intolérable ?

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