La photosynthèse de mes couilles
Fiche : La photosynthèse de mes couilles. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Laurianne Le Roy • 6 Mai 2016 • Fiche • 289 Mots (2 Pages) • 764 Vues
Bonjour je m'appelle Charlotte. J'ai 50 ans. Et j'en ai marre de ce truc de merde. je dois fare un TP mais je bloque sur une des questions. J'ai trouvé la réponse sur votre site mais vous êtes de gros connards parce que je ne peux pas l'ouvrir et faut que je paye bonbons pour voir UNE PUTAIN DE REPONSE ! Donc maintenant je suis obligé de marqué 250 mots pour que je puisse, je l'espère, ouvrir ce foutu texte et rendre mon compte rendu à mes professeurs qui me font chier à gacher mon après midi. Et voilà j'ai encore pas assez de mots. Allez voous faire foutre. Comme nous l’avons dit dans les parties précédentes, nous avons voulu observer l’activité photosynthétique de la chlorophylle dans une plante d’épinard en ajoutant des accepteurs d’électrons et des inhibiteurs (herbicide).
Le premier échantillon (fraction 1) montrait une activité de 0,62 µmol/min/mg. Nous avons considéré cette activité comme « activité témoin » puisque nous n’avons pas ajouté de composants en plus dans l’échantillon. Elle nous a permis de comparer les autres fractions entre elle après l’ajout d’un ou plusieurs accepteurs ou/et inhibiteurs.
La fraction 2 a été complétée par un accepteur d’électron, le ferricyanure. Cet accepteur participe à la photosynthèse. Il n’y a pas eu de différence avec l’activité de la fraction 1 ce qui nous a amené à penser que le ferricyanure n’était pas plus puissant que les accepteurs initialement présents.
L’expérience a été refaite pour la fraction 3 mais cette fois ci en ajoutant un autre accepteur d’électrons, le DCBQ. Nous avons observé, certes une légère, mais présente augmentation de l’activité photosynthétique puisqu’elle atteint 0,69 µmol/min/mg. Nous pouvons dire que le DCBQ est légèrement plus efficace que le ferricyanure.
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