Bibliographie Atkinson

Bibliographie

Atkinson, Anthony A. 1999. Les Assurances Sécuriplus. En ligne. 11 p. <http://benhur.teluq.uquebec.ca/moodle/ADM1002/pdf/tn/TN1-Les-Assurances-Securiplus.pdf>. Consulté le 25 aout 2013.

Bédard, Michel G, Mehran Ebrahimi et Anne-Laure Saives. 2011. Management à l'ère de la société du savoir. Montréal : Chenelière Éducation, 498 p.

Question 1 :

La division et la spécialisation du travail permettent l’accélération de la production, l’augmentation des habiletlés et l’accroissement de la capacité de chacun à innover et à améliorer son poste de travail.

Voici les grands principes de l’organisation scientifique du travail :

• Analyse et décomposition des tâches

• Sélection de l’individu le plus apte à accomplir la tâche de manière scientifique

• Formation, suivi et contrôle permanent

• Système de salaires proportionnel aux normes de rendement

• Division entre direction et exécution*

Pour s’assurer de maitriser chaque secteur de leur industrie, Les Assurances Sécuriplus ont divisé les départements spécifiques. La division vie qui se spécialise dans la vente d’assurance vie aux particuliers; la division industrielle quant à elle se spécialise au niveau des assurances accidents & invalidités à long terme et des complément d’assurance maladie; et la division médicale s’occupe des plans d’assurances médicaments et soins dentaires.

En nous référant à l’organigramme de la division médicale de la compagnie Les Assurances Sécuriplus, nous pouvons constater les échellons et les départements qui constituent le système organisationnel de cette division.

(Atkinson, 1999, p.2)

Ce qui fait en sorte que chaque employé a une tâche bien définie et est en mesure de d’accroitre son rythme de production au fil du temps. Selon la vision de Babbage, il y a possibilité de réduire la valeur économique du travail en le confiant à des personnes qualifiés ou non qualifiés, des adultes ou des enfants différeremments rémunérées selon leur qualification et la difficulté du travail.* En regardant le tableau ci-haut nous pouvons voir qu’il y a différent niveau de travail. Que chacun de ces niveau a différents degrés de responsabilités et que les employés affectés à chaque niveau sont plus ou moins qualifiés et rémunérés selon le poste qu’ils occupent.

Il y à aussi certaines faiblesses au niveau de ce modèle scientifique d’organisation du travail. Comme Smith ou Tocqueville l’avaient déjà observé en leur temps, la séparation de la planification et de l’exécution des tâches et le déplacement des savoirs vers la direction contribuent à l’aliénation et à la monotonie du travail. L’ouvrier devient un instrument de l’entreprise au même titre que sa machine. Il est mis au service de sa machine au moyen de réflexes conditionnés tel un automate.*

Dans le cas sur lequel nous travaillons, chaque département à une tache bien précise.(Réception, ouverture, tri du courrier, etc.) Ce qui fait en sorte que les employés en poste font toujours le même travail jour après jour. Ce qui peut devenir redondant au fil du temps. Lorsqu’on travail pour un employeur, la majorité des êtres humains ont besoin d’être valorisés, de savoir que l’employeur le soutien et est en mesure de lui fournir des outils pour mieux performer. Dans le cas qui nous occupe, les employés font le travail qui leur est demandé sans chercher nécessairement à accroitre la productivité ou à trouver de meilleur méthode de travail. En suivant le principe scientifique de l’organisation du travail le gestionnaires devrait prendre en charge cette partie du travail, c'est-à-dire de trouver des idées et solution pour obtenir un meilleur rendemment du service à la clientèle.

* (Michel G. Bédard, Mehran Ebrahimi, Anne-Laure Saives, 2011. Management à l’ère de la société du savoir. Montréal : Chenelière éducation)

Question 2 :

Allons-y selon les 14 principes généraux d’administration paternalistes proposés par Fayol.

La division du travail : Il importe que les travailleurs soient spécialisés; de cette façon, ils deviennent sans cesse plus expérimentés et plus productifs.* Il est du devoir du gestionnaire de fournir aux employés les outils et les formations pour les aider à bien effectuer le travail demandé. M. Blanchette affirme que tout les employés ont reçu une formation pour le nouveau programme informatique mais qu’il y a encore un bon nombre d’erreur. Ce qui nous porte à croire que certains employés auraient besoin de formation supplémentaire. (A.Atkinson, 1999)

L’autorité et la responsabilité : Ce principe correspond au droit de donner des ordres et au pouvoir de les faire exécuter*. Dans toute entreprise, il doit y avoir des lignes de conduite et des gestionnaires à qui se référer pour obtenir les directives dans le cadre de notre travail. Ces personnes doivent avoir l’autorité nécessaire pour faire respecter les règlements au sein du groupe de travail et de leur côté les employés doivent s’engager à respecter les normes de travail de l’entreprise. M.Blanchette affirme « qu’il fait son travail de gestionnaire et qu’il serait temps que les employés fassent leur travail de commis ». (A.Atkinson, 1999) Ce qui nous laisse croire que les commis ne prenne peut-être pas leur responsabilités.

La discipline : Les membres doivent se plier aux conventions explicites ou tacites établies dans l’entreprise en matière d’obéissance, d’assiduité, d’activité et de marques extérieurs de respect.* Selon les commentaires de M.Blanchette directeur du service des réclamations/médicaments, les employés sous sa supervision n’ont pas une écoute attentive face à ses demandes « Je me demande parfois si ces gens m’écoutent vraiment. On dirait parfois qu’ils sont sourds d’une oreille et qu’ils n’entendent pas de l’autre! » (A.Atkinson, 1999) Ce qui pourrait nous laissé croire que la discipline au sein de la division serait à travailler.

L’unité de commandement : Chaque personne ne doit dépendre que d’un seul chef.* Comme nous l’avons vu précédemment dans l’organigramme de la division médicale, M. Blanchette est le seul directeur de la division donc ceci fait en sorte que les employés sous sa supervision recoivent les mêmes demandes en tout temps. Ils n’ont

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