Les Agences de mannequinq Paris.
Cours : Les Agences de mannequinq Paris.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar kingOs • 11 Avril 2014 • Cours • 798 Mots (4 Pages) • 1 057 Vues
Agence de mannequin Paris :
• ELITE : 21 avenue Montaigne 75008 Paris
• FORD : 3 rue de Choiseul 75002 Paris
• IMG : 8 rue Danielle Casanova
• MARILYN : 4 rue de la Paix 75002 Paris
• NEXT : 9 bd de la Madeleine 75001 Paris
• SILENT : 54 rue Ponthieu 75008 ParisMARIE
Trois heure du matin, on entendait des talons claqué sur le sol glacée de l’automne, Marie déambulait dans la nuit sombre sans étoile, ces larme tombait comme des cendre d’un volcan en éruption, on avait l’impression qu’il pleuvait en pleine nuit, son mascara coulait sur joue toute rose et innocente, elle avait le visage noircit de malheur, elle marchait la tête basse comme si elle avait honte les épaule en avant elle ne regardait pas derrière comme si elle voulait oublié. Marie dévale la rue qui l’amené au bus plus vite que la lumière ses pas se faisait plus strident ses pied était en sang tellement elle avait marché arriver à l’abri bus, il ne viendrait que dans 5 min, elle se tenait debout contre les parois vitré les bras croiser sur son ventre elle pleurait mais rien ne sortait de sa bouche aucun cri mes beaucoup de larme coulait, elle scruté tout le temps derrière elle comme si on l’avait suivi, de la fumé sortait de sa bouche ce qui formait des signe de désespoir, les bus arriva marie monta son costume d’halloween était en lambeau, elle tremblait elle déambulait le couloir du bus en essayant de ressemblait les quelque bout de tissu de son costume dans ce bus il n’y avait que trois personne une vielle dame avec son chien, un homme qui avait trop but et une adolescente qui rentré chez elle, assis sur le siège derrière toute les personne du bus se sont retourné pour la regarder mais aucun d’eux n’est venu à son secours tête poser sur la vitre elle continué pleurer ses main trembler tout son corps trembler mes personne venait elle lançait un appel d’aide invisible que personne entendait on la croyait prostituer mais ce n’était qu’une adolescente perdu. Arriver à son arrêt elle déambulait comme une alcoolique elle marcher mais sa silhouette rester là la suivait derrière elle, elle était parti de chez elle adolescente et revenait femme elle marchait les maisons défiler autour d’elle, arriver elle trifouillait dans son sac pour chercher ses clé ses main trembler, elle glissa la clef sur la serrure ouvrit la porte, ses parent était assis dans le salon, sa mère lui dit bonjour mes rien ne sortie de sa bouche elle marcha jusqu'à sa chambre elle entra dans la salle de bain tourna le robinet d’eau froide laissa couler l’eau, retira ces reste de vêtement se mit a nu et l’eau lui coula sur le corps, accroupit les bras contre son corps elle se frotta jusqu’à saignement de sa peau pour retirer toute sa crasse elle pleurer son mascara disparaissait dans le trou de la douche comme un fleuve de désespoir elle pris sa serviette se sécha en évitant son reflet dans les glaces, elle mit son pyjama ouvrit un tiroir et en sortie des ciseaux elle marcha vers sa chambre pris un cahier et écrit, elle regard la nuit la lune marie s’en alla sous sa couette et ferma les yeux et le silence, le silence.
Le matin on
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