Abougadesh.

Après s’être caché, il prit du temps pour admirer le paysage qui l’entourait, il vit de nombreux bateaux et quelques immeubles au loin. Abougadesh était assez étonner du paysage qu’il découvrit, il s’attendait à voir un paysage tel qu’il en vit dans les grands feuilletons français, mais il avait oublié qu’il n’était encore au Havre.

Il fit deux, trois pas en avant pour vérifier si la voie était libre, une fois qu’elle en était, il se précipita vers la sortie du port. Lorsqu’il franchit la sortie il jeta un dernier petit coup d’œil derrière lui, pour vérifier si personne ne le poursuivait, quand soudain Abougadesh entendit un gros bruit de freins de se rapprocher de lui et ce fit heurter par une voiture.

Abougadesh était au sol, légèrement étourdit par le choc qu’il venait de subir. Le conducteur de la voiture présumée descendit en courant pour aller voir l’état d’Abougadesh. Abougadesh en effet parlait couramment le Français grâce aux études qu’il a effectué au Bénin. Une fois ayant entièrement reprit conscience, il engagea la conversation avec le conducteur. Tout d’abord celui-ci n’a cessé de s’excuser au près d’Abougadesh, il était terrifié sur le faite que Abougadesh pourrait se plaindre de lui aux autorités, il lui proposa donc de lui rendre n’importe quel service. Abougadesh lui demanda tout d’abord son nom, le jeune homme lui répondit « John Walker », puis Abougadesh lui fit comprendre qu’il ne le dénoncera pas aux autorités. Après avoir prit connaissances de l’un et de l’autre, John informa Abougadesh, qu’il était en direction de Paris car il résidait là bas. Ensuite Abougadesh lui expliqua ses mésaventures et lui dit pourquoi il était venu en France. Après lui avoir tout expliqué, John trouva Abougadesh un peu fou mais ne se moqua pas de lui car il voyait qu’il était sûr de lui et qu’il n’était pas du tout entrain de rigoler. John proposa donc à Abougadesh de l’emmener à Paris, en dédommagement, même si il s’avait très bien que si ils se feront contrôler par les autorités, ils risqueraient gros car Abougadesh et entrer illégalement en France et n’a pas de papier. Malgré cela ils prirent la route, à bord du véhicule de John, en direction de Paris.

Sa y est ils étaient enfin arrivés à Paris. John et Abougadesh eurent beaucoup de chance car ils n’ont eus aucuns contrôles. Durant le voyage, John c’est beaucoup attaché à son compatriote Abougadesh. Il a finalement décidé d’aider Abougadesh, même s’il trouvait cela d’une grande folie..

John proposa à Abougadesh de vivre dans son appartement le temps d’en finir avec son affaire, Abougadesh n’a pas pu refuser car il se serait retrouvé à la rue.

Il était 21h45 précisément, Abougadesh et John étaient arrivés à Paris et tout les deux se trouvaient épuiser par cette longue et dure journée. Ils arrivèrent à la résidence de John. Pendant le diner John donna des tonnes d’informations à propos du Président de la République Française, la seule chose qu’Abougadesh ait retenu c’est qu’il habitait au Palais de l’Elysée. A la fin du diner John montra à Abougadesh la chambre dans laquelle il dormira. Avant d’allé se coucher, Abougadesh demanda à John s’il pourra, demain l’emmené au Palais de L’Elysée pour tenter d’approcher le Président, John accepta avec beaucoup d’appréhensions…

Le lendemain, c’est Abougadesh qui fut réveiller le premier, il fut aussitôt rejoint par John. Il était midi et des minutes. John et Abougadesh prirent rapidement leur déjeuner, puis John donna quelques habits respectables à Abougadesh, pour qu’il soit au cas où, recevable au près du président, et, ils prirent la route pour le Palais de L’Elysée.

Une fois arrivés au Palais, les deux hommes descendirent de la voiture pour aller se présentés à l’accueil. Abougadesh alla parler à la femme de l’accueil tout seul, John l’attendait sur une chaise pas trop loin sur le côté. Abougadesh se présenta donc à la jeune femme et lui informa qu’il était ici pour parler à M. Hollande, l’actuel Président de la République Française, et lui demanda si cela était possible. La jeune fille se mit à rigoler, se qui déstabilisa complètement Abougadesh. Puis pour faire part de respect, elle stoppa son rire et lui informa que cela était impossible sauf si le Président est au courant et est d’accord de le recevoir. Abougadesh remercia comme même la jeune femme et était sur le point de rejoindre John quand soudain il surprit une conversation entre la dame de l’accueil et un jeune homme qui venait d’arriver. D’après la conversation, il y avait

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