Je Sais Pas
Note de Recherches : Je Sais Pas. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar stephy • 9 Avril 2013 • 558 Mots (3 Pages) • 804 Vues
I / INTRODUCTION
J’ai choisi de lire « Penser l’écrit professionnel en travail social » de Jacques Riffault. Je trouve très intéressant la méthode employé par Jacques Riffault qui met sous forme d’enquête puis d’interviews, des faits, des commentaires, des remarques et des exigences de différents travailleurs sociaux.
Dans le cadre de ma profession en qualité de monitrice-éducatrice, je devrais faire face à de nombreux écrits. Il est important pour moi de donner un sens à l’écriture professionnel, qui est devenu le principal lien de communication entre différents partenaires (administratifs, judiciaires, scolaires, médicaux) rendant compte des situations, des actions ou contribuant à une prise de décision.
De plus, depuis la loi de 2002, la préoccupation première est de remettre le sujet au centre des écritures et cesser de vouloir « dire » à sa place.
Jacques Riffault est éducateur et directeur pédagogique de l’Institut Régional du Travail social d’Ile de France Montrouge/Neuilly-sur-Marne. Il est l’auteur de deux livres :
- « Penser l’écrit professionnel en travail social », publié en mars 2006 de l’édition DUNOD, établit un constat de l’augmentation de la demande d’écriture des travailleurs sociaux en mettant l‘usager-sujet au centre des écrits professionnelles. Une réflexion sur la pensée en écriture y est présentée.
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« 20 questions pour penser le travail social » publié en Juin 2007 de l’édition DUNOD, apporte aux étudiants et professionnels du secteur social l’opportunité de développer leurs réflexions sur leurs pratiques professionnels.
La première partie de son ouvrage « Penser l’écrit professionnel en travail social » fait le point sur les modalités et les représentations des pratiques d’écritures des différents travailleurs sociaux. Appuyé sur la présentation des résultats d’une enquête auprès de 130 institutions et de 40 interviews l’auteur met en avant les difficultés rencontrées pour la mise en œuvre de ces écritures.
La deuxième partie donne des éléments méthodologique et psychologique pour repenser l’écrit professionnel et ainsi replace le travail d’écriture au centre de la relation éducative. Une pratique d’écriture qui est souvent vécu comme « administrative », comme une contrainte, une tache supplémentaire. Tous les travailleurs sociaux reconnaissent là un outil de distanciation, de réflexion et d’élaboration de l’action tandis qu’une personne interviewée parle de « reprendre possession de sa vie professionnel ».
Ma fiche de lecture va s’établir sur la préface, l’introduction du livre ainsi que les deux premiers chapitres.
II / LECTURE DETAILLEE
Dans son livre « Maitriser les écrits professionnel » Nathalie MATHIEU rappel la législation et la spécificité des écrits du social. Ceci rejoint Jacques Riffault sur les nouveaux droits des
usagers en termes d’accessibilité aux dossiers et plus largement « à toutes informations relatifs à leur prise en charge » et ce depuis la loi de 2 Janvier 2002.
En effet, cette loi est exigeante en matière d’écrits
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