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Histoire Des Arts: Installations Shalekhet de Menashe Kadishman

Mémoire : Histoire Des Arts: Installations Shalekhet de Menashe Kadishman. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  24 Avril 2015  •  709 Mots (3 Pages)  •  2 199 Vues

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INTRO : Nous avons décidé de choisir cette œuvre car dans cette sculpture l’artiste a voulu transmettre au spectateur un moment de l’histoire par de l’art sans explications par livres ou documents tel qu’ils soient ce qui montre que l’art est l’un des plus courts moyens de l’homme à l’homme.

ARTISTE :

Menashe Kadishman est né le 21 aout 1932 à tel Aviv. Menashe Kadishman est un plasticien et sculpteur israélien installé à Tel Aviv. Dans les années 1950, il sert dans un kibboutz où il travaille notamment comme berger. (Le kibboutz est, par définition : « une communauté délibérément formée par ses membres, à vocation essentiellement agricole, où il n'existe pas de propriété privée et qui est censée pourvoir à tous les besoins de ses membres et de leurs famille).

À partir de 1947, il étudie à Tel Aviv la sculpture, successivement avec Moshe Sternschuss, puis avec Rudi Lehmann en 1954. Il part pour Londres en 1959 où il continue ses études, avec des artistes proches du minimalisme tels que Anthony Caro. Il expose pour la première fois à la galerie Grosvenor. (Minimalisme : Qui met en œuvre le minimum d'éléments, qui bouleverse le minimum de choses.)

ŒUVRE ET SON CONTEXTE :

La contribution de Menashe Kadishman au Musée juif de Berlin est l'installation intitulée Shalekhet (Fallen Leaves) dans le vide de la mémoire, l'un des espaces vides du bâtiment Libeskind. Le rez de chaussé est réservé au repos et à la méditation. Des milliers de masque la bouche ouverte grossièrement découpé dans des plaques de fers lourds, circulaires recouvre le sol d’un passage au rez-de-chaussée du musée juif de Berlin et sur lesquels les spectateurs sont invités à marcher sur les visages qui produisent alors de très bruyants sons métalliques, sons accentué par leur réverbération sur les parois en béton et l’immensité de l’espace vide. Cette œuvre représente le massacre et la perte des juifs assassinés en Europe, leurs expressions évoquent des souvenirs douloureux des victimes. Il évoque la shoah qui signifie catastrophe en hébreu. C’est l’extermination systématique par l'Allemagne nazie d'entre cinq et six millions de Juifs, soit les deux tiers des Juifs d'Europe et environ 40 % des Juifs du monde, pendant la Seconde Guerre mondiale. Les Juifs, désignés par les nazis comme leurs ennemis et assimilés à une race inférieure selon leur idéologie, furent affamés jusqu’à la mort dans les ghettos de Pologne et d’Union soviétique occupée ou assassinés par l’emploi des méthodes suivantes : fusillades massives par des groupes d’intervention sur le front de l’Est ,connues sous l'appellation « Shoah par balles » ; travail forcé et sous-alimentation dans les camps de concentration ; gazage dans les « camions à gaz » ou dans les chambres à gaz des camps d’extermination. Dans ce dernier cas, les corps étaient éliminés par l'usage intensif des fours crématoires.

Cette partie de la Shoah en fait le seul génocide industrialisé de l'histoire.

MESSAGE :

Dans cet espace, en faisant abstraction

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