Architecture : Le nichoir
Résumé : Architecture : Le nichoir. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar jsebascriollo • 12 Août 2022 • Résumé • 588 Mots (3 Pages) • 399 Vues
Le nichoir
L’œuvre des matières, chapitre : MATIERE RYTHME
Le rythme est la première chose que l’on ressent, une répétition d’éléments successifs dans un paysage, dans une composition tel un alignement d’arbres, un déferlement de vagues, une traîne de nuages. Mais, le rythme composé prendra pleinement son sens dans l’architecture même, comme une mélodie, une ritournelle. Le rythme devient alors un temps concret et perceptible.
Du rythme naît le langage architectural.
« Tout rythme est sens de quelque chose, une répétition d’éléments successifs dans un paysage, dans une composition tel un alignement d’arbres, un déferlement de vagues, une traîne de nuages. Mais, le rythme composé prendra pleinement son sens dans l’architecture même, comme une mélodie, une ritournelle. Le rythme devient alors un temps concert et perceptible. » Octavie Paz, L’arc et la lyre
Verbes : Tasser, Courber
Oiseau : Le merle noir
Renseignement : Le Merle noir est un passereaux de la famille des turdidés. Il mesure environ 25 cm et pèse entre 80 à 110 grammes. Le mâle a le plumage entièrement noir avec le cercle oculaire jaune ainsi que son bec. Le merle est omnivore. La plupart du temps il mange des insectes et des vers de terre au sol, au printemps et en été. En automne et en hiver il consomme des fruits et des baies.
Le merle noir est l'un des premiers chanteurs du petit matin et son chant est le plus familier de nos jardins. Il défend son territoire très tôt dans l'année et commence parfois à construire son nid quand la neige recouvre encore le sol, dès février. Parfois à l'automne, ils défendent vigoureusement leur territoire, surtout en zone urbaine où chaque couple dispose de moins d’espace). Le merle vit très souvent dans les bois, les bosquets, les jardins et aussi bien dans les zones urbaines (en ville) que dans les zone rurales (à la campagne). On trouve le merle essentiellement en Europe.
Le merle noir émet plusieurs sortes de cris selon les situations. S’il est dérangé, il lance des « tchouc » bas et répétés lentement. Lorsqu’il se sent menacé, il pousse des cris aigus « tink-tink-tink… » répétés plus ou moins rapidement. Ces cris peuvent devenir hystériques en présence d’un prédateur dangereux. Le chant du merle noir est très riche, fait de notes claires et fluides. Il peut varier d’un mâle à l’autre, mais les phrases musicales restent similaires. Son chant mélodieux est apprécié des humains auprès desquels il vit de plus en plus fréquemment.
Petite histoire : Au début du XIX siècle, le Merle noir était une espèce craintive typiquement forestière. Il est devenu un hôte de nos jardins, puis il est apparu dans les villes à partir de 1830.
Matériaux : Grillage en métal et ciment
Scénario : L’idée est de créer un nid représentant le merle. Le merle ayant un caractère très affirmée qui ne vivent pas en groupe. J’ai donc décidé de travaillé à partir d’une grille donnant cette image de défense, délimitation. Il est aussi chanteur du matin alors l’idée de travaillé sur les courbes, les temps, la fluidité = la liberté. Le nid nous fait penser à un coquillage solide qui nous renvoie cette image de l’oiseau plutôt fragile mais avec un fort caractère. De face l’image d’une bouche celle qui va abriter le merle. Ce lien que j’ai voulu faire entre l’homme et la nature qui cohabitent ensemble.
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