Étude du tableau Guernica de Picasso
Commentaire de texte : Étude du tableau Guernica de Picasso. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar cathaudi • 18 Avril 2015 • Commentaire de texte • 397 Mots (2 Pages) • 737 Vues
SAVOIR DECRIRE ET ANALYSER L ŒUVRE
1) 1er constat
J’ai vu cette œuvre dans un livre. La reproduction est fidèle à l’originale qui est en noir et blanc
Cette œuvre est une huile sur toile
Elle est présentée en totalité, par contre dans mon livre la taille est réduite.
Ce tableau gigantesque se lit de gauche à droite. Il mesure 3m51 par 7m32.
INVENTAIRE RAISONNE
LE STYLE :
Dans cette œuvre, Picasso utilise le style Cubiste. Les figures sont fragmentées en surfaces géométriques
LES ELEMENTS ICONIQUES :
Dans cet immense tableau, il y a 7 groupes de figures :
A gauche : une mère agenouillée devant 1 taureau
A droite : une femme levant les bras en l’air
Au milieu : 1 triangle avec 1 cheval au centre – 1 femme à sa droite – 1 soldat au sol
1 visage et 1 bras
La relation entre tous est la démonstration de la souffrance et de la douleur.
LA COMPOSITION
Cet immense tableau horizontal mesure 3m51 par 7m32 soit 27m2.
La composition forme un grand triangle appelé pyramidal.
1 axe vertical divise le tableau en 2 parties correspondant aux différents groupes de personnages (la femme à l’enfant – le cheval et la lampe – les 2 femmes – le personnage bras en croix dans les flammes).
L ESPACE
Tout l’espace de la toile est occupé
La perspective est presque totalement absente.
Il n’y a que 2 plans :
- Le 1er avec les personnages
- Le 2ème qui offre une vision plus confuse
LA MATIERE
Guernica est une peinture à l’huile sur toile tendue sur châssis.
La peinture est traitée en aplats avec très peu de matières.
C’est une peinture très anguleuse, comme un collage.
La construction et le trait remplace le geste et la touche.
Les volumes sont très peu travaillés.
LA COULEUR
Tableau monochrome
Picasso a réalisé son œuvre en noir, blanc et dégradé de gris pour mettre en avant l’image de la mort.
L’absence de couleur accentue la gravité et l’atrocité de la scène.
Les contrastes entre
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