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Keith Haring - Dossier D'art 1er Partie

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Par   •  1 Septembre 2014  •  1 199 Mots (5 Pages)  •  2 294 Vues

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DOSSIER CCF D’ART APPLIQUE

Sommaire

1 – Keith Haring

- 1.1 Source d’inspiration de l’artiste

- 1.2 Reconnaissance de l’artiste

- 1.3 Un événement inattendu

2 – Œuvres et photo de l’artiste

- 2.1 Photo de son Pop Shop

- 2.2 Keith Haring et le mur de Berlin

- 2.3 Ses dessins les plus connues

- 2.4 Ses sculptures

- 2.5 Keith Haring et les artistes

Keith Haring

Il est né le 4 mai 1958 à Reading en Pennsylvanie, il décède à New York le 16 février 1990 à l’âge de 30 ans, des complications dûes au sida.

C’est un artiste, dessinateur, peintre, sculpteur et activiste américains des années 80.

Il débute sa carrière en suivant des cours de dessin publicitaire à la Ivy School of Profressional Art de Pittsburgh. Il se rend très vite compte que ça ne lui convient pas, il se consacre alors à sa passion le dessin. Très vite il se sent enfermé dans cette ville, il décide alors de partir à New York pour faire de nouvelles rencontres. Dès son arrivée il s’inscrit à la School Visual of Arts. Il s’essaie au collage, la peinture, les installations, la vidéo, mais son mode d’expression privilégié restant le dessin. Il teste différents support pour peindre telles que le métal, les objets trouvés, les corps. Il peint toujours d’une grande rapidité, il ne fait jamais de croquis.

A New York, il est plus particulièrement dans l’East Village, découvrant la foisonnante culture des années 80, hors des galeries et des musées, développe son expression sur de nouveaux territoires telles que les rues, les métros, les entrepôts. Il rencontre Kenny Scharf, Madonna, Jean-Michel Basquiat, des artistes de la vie underground new-yorkaise, avec qui il devient ami, et organise ou participe à des expositions au Club 57.

C’est à cet endroit que beaucoup d’œuvre furent crée, le Bébé Rayonnant, un des pictogrammes les plus connus de l’artiste. Haring était aussi influencé par le travail de Jean Dubuffet, Pierre Alechinsky, Brion Gysin et Robert Henri.

1.1 Source d’inspiration de l’artiste :

Il s’inspire du graffiti, tenant du Bad Painting, il est soucieux de toucher un large public. Il commence à dessiner à la craie blanche sur des panneaux publicitaires noirs du métro de New York. Il grave également sur les trottoirs dans l’East Village (Aujourd’hui encore visible).

Il est photographié en permanence par un photographe du nom de Tseng kwong Chi, même lorsqu’il se fait arrêter par la police.

Ses peintures font partie du mouvement général de l’art contemporain. La «griffe Haring», c’est la répétition infinie de formes synthétiques soulignées de noir avec des couleurs vives, éclairantes, sur différents supports. Ce sont des récits permanents où l’on retrouve des bébés à quatre pattes, des dauphins, des postes de télévision, des chiens, des serpents, des anges, mais aussi la sexualité et la pulsion de mort et encore bien des choses. Il s’est en partie inspiré des « dessins du désert de Nazca ».

1.2 Reconnaissance de l’artiste :

Il fait sa première exposition personnelle en 1982, elle a lieu dans la galerie Tony Shafrazi de New York et rencontre un immense succès, la même année, il figure en juin à la Documenta 7 de Cassel. Il fit également connaissance avec les artistes de la Figuration libre tel que Remi Blanchard et François Boisrond, durant l’exposition «Statements New York 82 – Leadinq contemporary artists from France» à New York, il interviendra avec ces-derniers lors de ses nombreux voyages à Paris. En 1983, il participe à la Biennale du Whitney Museum et à la Biennale de Sao Paulo.

Il

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