TPE évolution de la presse féminine

La presse féminine est l'ensemble des titres de presse écrite, spécifiquement destiné à un lectorat féminin.

Il existe une multitude de magazines féminins afin de répondre aux demandes très variées de ce publique tout comme la presse culinaire, de décoration, familiale ou alors la presse de loisirs.

La presse féminine comme son nom l'indique, touche essentiellement les femmes. Elle met en avant des produits qui pourrais lui être utile. Cette presses est liée à la publicité qui a pour but de nous montrer la création de nouveaux besoins accompagnée du renouvellement de l'offre. La presse féminine nous apporte alors une version stéréotypée du genre féminin.

Années 1700:

Celle-ci est né dans les salons aristocratique de la fin du XVIIIe siècle, lorsque les femmes se retrouvaient entre elles pour travailler le beaux langage, les belles tenues... Certains les qualifiées de « précieuses ridicules ». Ce cabinet des précieuses était pour les femmes une façon de pouvoir s'évader de la tutelle des hommes.

Les premières revues qui naissent sont des revues de mode qui sont essentiellement réservées à un public restreint. Mais la modernisation au XIXe sc dut aux nouvelles inventions comme par exemple la machine à coudre ou alors avec la création des

« grands magasins » les femmes deviennent de plus en plus autonomes, ce qui leur permet de confectionner elles-même leurs robes, jupes, tailleurs et autres accessoires . La mode devient alors un sujet commun.

Année 1800:

Au début du XIXe siècle, plus de 180 revus de mode sont publié en France. De plus, avec la loi sur la liberté de la presse en juillet 1881, l’engouement pour la presse ne cesse de s'accroître. Le Petit Écho de la Mode devient en 1880 un hebdomadaire « pratique et un guide du bien-être » pour un bon nombre de femmes. Ce journal à succès reste populaire jusque dans les années 1960. La mutation de la société en est pour beaucoup dans la réussite de cette presse.

Années 1900:

Au début du XXe siècle, le statut de la femme idéale reste celui d'une femme inactive, celui d'une mère au foyer répondant au besoin de sa famille.

À l'inverse de l'homme, les libertés de la femme sont très limitées. Elle n'est pas propriétaire de son corps, la contraception est interdite par la loi en 1920 et l'avortement est perçu comme un crime. Elle ne peut ouvrir de compte bancaire sans l'autorisation de son époux et peut encore très difficilement travailler.

Cependant après l'arrivée des

« Années folles » en France et la libération du pays suite à la Première Guerre Mondiale, les citoyens souhaitent décompresser de ces années difficiles en retrouvant une certaine joie de vivre. Les sorties culturelles, la musique et la presse refont surface après avoir été mis de côté durant plusieurs années.

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