Carnet de lecture: Le Petit Prince

Carnet de lecture: Le Petit Prince

Le petit prince a été écris par Antoine de Saint-Exupéry né le 29 juillet 1900 à Lyon et a été publié en 1943 à New York. Il est le deuxième ouvrage le plus traduit au monde après la Bible.

L’écriture de son histoire viendrait du contexte historique dans lequel il l’a écris (en plein milieu de la Seconde Guerre Mondiale, alors que la France était occupée et qu’il avait été envoyé à New York pour lutter pour la libération de la France) mais aussi d’un problème dont Saint-Exupéry souffrait et qui était qu’il n’a jamais été papa et qu’il mourra avant d’avoir accomplit son souhait durant un vol de reconnaissance au dessus de la France en 1944.

Le petit prince n’est pas seulement destiné qu’à des enfants dans le but d’éduquer sur des principes clefs, il est enfaîte une œuvre poétique et philosophique sous l'apparence d'un conte pour enfants et alors qu’ils y verront une histoire drôle avec un enfant et un renard allant de planètes en planètes pour se faire des amis, les adultes ,eux , y voient plutôt une critique de la société et un des symboles le plus terrifiant serait que sa petite planète envahie par trois baobabs (bien enracinée dans la terre) que l'on n'a pas su couper à temps, peut faire penser aux trois puissances de l’Axe.

C’est alors qu’au chapitre XXI, on peut poser un lien entre les Fables de la Fontaine et le petit prince car dans cet extrait le renard qui est un nouveau personnage que le petit prince découvre critique les hommes ainsi que la société tout comme dans les Fables où les animaux critiques les hommes et ici la critique porte le fait qu’ils ne créaient plus de liens nommé ici par le verbe « apprivoiser » et qui est décris par le fait que si on ne connais pas une personne alors on en a pas besoin et elle n’a pas besoin de toi.

Mais le plus gros lien entre cet extrait et les Fables est la construction du texte avec un mouvement et une morale qui ici serait le fait qui les hommes ne créaient pas de liens et la morale serait que on ne connaît que ce qu’on apprivoise, que les hommes achètent tous chez des marchands mais qu’il n’existe pas de marchands d’amis et enfin la phrase du renard qui dit que pour créer des liens et devenir l’ami de quelqu’un il faut y allez petit à petit sans parler car le langage est une source de malentendus.

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