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Utopie français

Mémoire : Utopie français. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  11 Décembre 2017  •  Mémoire  •  1 330 Mots (6 Pages)  •  755 Vues

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Radisic

Thomas                   Devoir Français  

2ND4

Nous étions toujours sur la mer, immobile en attendant le départ cela faisait des heures que nous l’attendions, cette nouvelle aventure.

Le départ fut retenu pour cause de tempête aux alentours des côtes.

Cette eldorado consistait à faire le tour du monde avec un simple voilier. J’étais le commandant, c’est moi qui donne les ordres et qui dirigent mon navire, à bord il y avait mon ami d’enfance un simple matelot nommé Marcus.

Enfin le signal du départ fut lancé, l’aventure commença après des années de patience, d’expérience et d’entrainement. Au loin nous voyons la tempête pleine de rage avec les vagues qui devenaient de plus en plus violente ainsi que les nuages de plus en plus noirs.

10 heures plus tard.

Séparés des autres bateaux, Marcus et moi étions seules au seuls au mondes sur ce gigantesque océan, dans cette tempête qui ne voulait pas se terminaient. Brusquement le bateau fut heurté par une série de vague, les vitres de la cabine furent brisées une par une, le navire se balançait de tous les côtés jusqu’au drame ; le mat du voilier se brisa et s’écroula sur ma cabine de commandement. Impossible de le remonter, nous n’avions plus de voiles donc plus de moyen d’avancer, la seule solution était de se faire déporter jusqu’à voir un continent ou peut être une ile. Mais le pire n’était pas là, nous étions entreindre de couler et puis les vivres étaient engloutis un à un au fond de l’océan. En résumé nous n’avions plus de bateau, plus de moyen d’avancer et plus de moyens pour se nourrir, la chance que nous avions était que le bateau coulait très lentement.

1 jour et 13 heures plus tard

Après cette terrible tempête je me réveilla sur une plage, sur ce qui me semble être une île, ou peut-être aurions-nous rejoins un continent, nous restions tout de même perdus au milieu de l'océan.

Au milieu de l'écume, j'apercevais les restes du petit voilier totalement brisé sur les rochers qui m'a amené ici. En ne voyant juste le voilier brisé sur les rochers je me demandais ou était passé Marcus. Je pensais qu’il fut toujours vivant car je n’aurais pas pu me réveillais comme cela sur la plage, quelqu’un a forcément dû me transporter jusqu’ici.

L'île était calme, magnifique, colorée de milliers de teintes diverses. Alors que j’avançais dans la jungle, au milieu des fougères et d'autres plantes primitives, je distingue ce qui me semble être un village à une dizaine de kilomètres, constitué de centaines de cases, uniformes, toute pareil, de même couleur. J'avance en direction de ce village perdu, espérant y trouver Marcus. En un instant, je fus encerclé par une tribu, visé par des personnes colorés et nus tenant des lances de fer, de main ferme. Je vis Marcus menottait derrière leur troupe, un instant de soulagement venus en moi.

L’un d’entre eux, ce qui me semblait être le chef du village vint me voir.

Dans un esprit chaleureux, il demanda à ses hommes de baisser ses armes, ensuite il me regardait de près et me posa quelque question.

Comment avait vous connut cette ile ? Comme y êtes-vous parvenus ? Et qu’est-ce que vous désirez y faire ?

Je lui répondis et lui dit toute la vérité sur le fait que l’on s’était échoué par chance et que nous n’avions plus de nourriture ainsi que de moyens d’avancer. Ils me rendirent Marcus et je leurs remercièrent. Après cela il comprit que nous n’avions plus de bateaux, et qu’il aurait fallu m’en donner un ou le réparer.

Enfin le chef, se présenta, il s’appelait Maui et rien d’autre mais il préférait nous montrer son village. En réalité j’aurais préférait la reconstruction de mon bateau mais je n’avais pas le choix, je devais montrer mon respect envers eux.

Nous arrivions, le village était en réalité au milieu de la jungle, entouré de muraille en bois, mais le plus étonnant c’était son nom Okakakatitou.

Le chef nous disait que cette ile appartenait aux français, mais elle reste inconnue à ce jour parmi eux, d’où venait la langue française.    

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