Simone Veil
Chronologie : Simone Veil. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar sosochacha • 16 Mars 2022 • Chronologie • 379 Mots (2 Pages) • 346 Vues
Le 26 novembre 1974 c’est auprès des députés formant un cénacle presque exclusivement masculin, qu’elle revendique la légalisation de l’avortement en France. Pour cela elle avance que la loi interdisant l’IVG est « bafouée et ridiculisée ». Toute fois elle maintient que « cela doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issues ». Ce discours historique compte parmi les plus grands, les plus controversés et les plus importants de l’histoire de la Ve République. Ce n’était pas la première fois que Simone Veil devait imposer ses convictions dans un monde d’homme .
Son texte est adopté a l’assemblée nationale le 29 novembre 1974.
C’est suite a cette ascension professionnelle et sa position politique qu’elle est nommée, en 1975, ministre de la santé sous le quinquennat de Valéry Giscard d’Estaing, elle gardera ses fonction jusqu’en 1979
C’est qu’une fois en possession de ses fonction que la loi de Simone Veil est votée provisoirement pour une période de 5 ans le 17 janvier 1975, pour être pars la suite reconduite le 31 décembre 1979.
C’est la raison pour laquelle le 17 juillet 1979 elle se présente aux élections Européennes représentant la liste pour l’Union de la Démocratie Française (UDF), pour être élue en juin de cette même année présidente du parlement Européen, elle fut la 1ère femme a occuper cette fonction.
Durant toute sa présidence, qui a durer jusqu’en 1982, elle s’attachera a promouvoir l’élargissement de l’Europe tout en ayant a cœur d’améliorer les conditions sociales des Européens.
En mars 1993 Simone Veil est nommée ministre des affaires sociales, de la santé, et de la ville au sein du gouvernement d’Édouard Balladur,jusqu’en 1995, elle est donc la 1ère femme d’État.
Le premier janvier 1997 elle devient présidente du haut conseil à l’intégration sous le gouvernement d’Alain Juppé.
Du 3 mars 1998 au 3 mars 2007 elle occupe les fonctions de membre du conseil constitutionnel.
Très active, elle ne s’arrête pas là puisqu’elle enchaîne les postes divers au sein de la société. Effectivement de 2002 à 2007 elle est la présidente de la fondation pour la mémoire de la Shoah, ainsi que membre du conseil d’administration de l’institution française des relations internationales (IFRI)
Enfin en octobre 2008 elle présente sa candidature à l’académie française, elle est élue parmi les « immortels » dès le premier tour de scrutin jusqu’au 20 novembre 2008.
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