Les transclasses

Ses

Vidéo sur les transclasses :

5) Il y a un décalage entre Pauline et son père car ils ont un avis différent par rapport aux idées politiques : l’un est de droite l’autre de gauche. Le père s’exprime avec simplicité et elle parle de manière différente, elle veut développer son éloquence.

6) Elle dit qu’elle ne pense pas faire sa vie avec quelqu’un de la classe populaire car elle veut maintenir un lien avec son milieu d’origine et cela lui paraît donc trop compliqué.

7) Plus tard, Pauline souhaiterait prendre le master politique publiques pour pouvoir lutter contre l’inégalité sociale et aider ceux qui viennent du même milieu qu’elle.

 Jacqueline Gomes

8) Jacqueline ne voulait pas aller à l’université de Saint-Denis et a préféré aller à Assas car pour elle aller à l’université, c’est d’être dans un endroit beau, propre, propice au travail ce qui n’était pas le cas à Saint-Denis ( bars de cité, bâtiments tagués abîmés).

9) Elle a 4 « bagages » : c’est une femme, jeune, noir, et elle vient de banlieue. L’image qu’elle a renvoyé lors de sa rencontre avec l’aide soignant était d’être une femme de ménage, ce qui illustre les « bagages » auxquels elle fait référence.

10) Au début de sa carrière, elle disait au gens qu’elle était agent administratif car elle avait du mal à assumer sa nouvelle fonction, à endosser les habits : être directrice lui donnait l’impression de porter « un costume trop grand ».

Najat Vallaud Belkacem :

11) Son parcours scolaire n’a pour elle, pas était réfléchi depuis son plus jeune âge mais assez tardivement, elle a découvert Science Po par hasard et non par ses parents ni par ses professeurs.

12) Elle dit avoir l’impression d’être comme à un mariage ou elle n’aurait pas été invitée car pendant plusieurs mois elle s’est sentis comme une imposteur parce qu’elle était entourée d’étudiants qui avaient entendu parlés de Science Po depuis des années, c’est un peu comme ci elle n’était pas à sa place.

13) Elle remet en cause l’idée de mérite individuel car il y a des enfants qui ont grandis avec beaucoup d’éléments apportés par leurs familles, cultures, écoles et qui leurs ont donc permis de plus naturellement suivre des études difficiles.

14) Ce reportage était très intéressant, les différents témoignages nous permettent de nous rendre compte et de réfléchir aux inégalités qu’il peut y avoir pour les personnes issues de l’immigration et qui vivent dans un quartier populaire  

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