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Le PIB est quand même un indicateur de richesse. C'est un indicateur de bonne ou de mauvaise santé d'une économie. Tel pays connaît la croissance, tel pays connaît la crise.

C'est également un indicateur pour comparer les pays « tel pays est riche, tel pays est moins riche ».

Mais il ne mesure pas le bien être et la qualité de vie : il contient des limites, des imperfections.

Ce document est un tableau de l'INSEE qui présente l'évolution des ressources et emplois de la Nation en 2012 en milliards d'euros. Ce tableau contient 2 colonnes : l'une exprimée en volume entre 2011 et 2012, et l'autre représentant les valeurs absolues, à prix courant (sans corriger l'inflation). L'évolution est en volume en % et la valeur est en milliards d'euros.

La consommation effective des ménages qui avait jusqu'en 2012 soutenu la croissance, a stagné (0% par rapport à 2011). La FBCF a même diminué de -1,2% et de -2,1% pour les entreprises.

On constate une stagnation de notre PIB, richesse. On dit que le PIB est atone, il y a une atonie, stagnation de la consommation des ménages et il est donc normal que les entreprises investissent moins : face à la diminution de la consommation, elles ne vont pas produire si les ménages n'achètent pas (stock). Des entreprises inquiètent pour l'avenir, elles ne vont pas chercher à investir.

Les seuls éléments positifs de l'année 2012 sont les exportations et la consommation collective des administrations publiques.

- Réduire les inégalités de revenus à travers impôts progressifs, transferts sociaux dégressifs (+ je gagne + je paie) (+ je gagne – j'ai de transferts sociaux)

- Réduire insécurité économique : risques sociaux, risques de l'existence

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